M'interrogeant sur la liberté, je suis tombée sur deux articles d'un site, merveilleux...
ascension-spirituelle
Je vous les partage en remerciant le rédacteur, car ils sont vraiment le reflet de ma quête et des questions que chacun peut se poser..
la liberté
« Je ne me sens pas libre, je suis née avec certaines conditions de vie, un conditionnement et certaines caractéristiques qui me sont impossibles de changer, je vois aussi mon frère, il est sans argent et vis dans la rue ou encore ma sœur qui est handicapée, elle n’est pas libre de faire comme tout le monde, ses choix sont pris par d’autres personnes qu’elle. Alors je ne peux pas parler de liberté sans sentir une certaine frustration, je me dis souvent, c’est la vie, c’est comme ça, ou alors, pas de chance, parfois même je me dis que tout est injuste. Puis-je jamais être libre ? »
Tu es libre ici et maintenant, c’est un cadeau d’une incomparable beauté et une fois que cette liberté est comprise, tout le processus de création t’es rendu.
Tu es libre, tu l’as toujours été, tu as seulement oublié. Tu as évidemment le mot, « liberté » et celui-ci est accompagné d’un grand nombre d’idées et d’opinions, mais d’une certaine façon, on pourrais dire que ta vision actuelle de la liberté est celle-ci : « Je souhaites pouvoir vivre ce que je veux quand je le désire, sans aucune forme de contrainte qui ferait barrière à l’expression de qui je suis vraiment et vivre la création qui me donne le plus de joie. »
Une autre pensée s’ajoute à ce désir, cette aspiration d’expression de toi et de l’amour s’ajoute une peur. « Le problème c’est que là, maintenant je ne suis pas libre. » Et pour justifier cette pensée, tu as plusieurs autres démonstrations pour prouver la réalité de cette peur. « Je n’ai pas assez d’argent, de temps, d’opportunités. », « Si je ne fais pas ça je vais perdre ma sécurité, je vais être seul et ne plus être respecté par qui que ce soit. », « Je ne suis pas assez fort, intelligent, beau, jeune ou expérimenté pour atteindre ce que je souhaites. », « ce gouvernement, ce système financier, ce parti politique, cette organisation religieuse, ce groupe ou ce pays m’empêche d’être libre. » pour finalement fermer toute recherche avec des certitudes : « Mais je ne suis pas libre, c’est vrai, je suis handicapé, je n’ai pas de travail, d’argent et je suis seul ! » ; « Je ne suis pas libre aujourd’hui, mais je le serais demain ou jamais » ; « De toute façon je vais mourir et disparaître. ».
Ces pensées qui ont une source de crainte de ne pas obtenir sa liberté, de ne pas pouvoir être qui l’on est et d’être limité sont justement la source des illusions qui limite et crée la peur empêchant d’être vraiment libre. Nous nous maintenons limité et hors de notre état naturel, qui est la liberté totale et inconditionnelle.
Nous créons une pensée de ce qui est et de ce qui devrait, et nous entrons en conflit, une lutte intérieure et avec le monde extérieure pour atteindre cet état dans lequel nous pensons ne pas être mais que nous atteindrons peut être un jour.
Il ne sert à rien de se raconter des histoires et d’essayer de tromper la raison, il n’y a pas de liberté, l’homme est contraint, agressif, souffrant de son manque de liberté. L’imagination en réaction pour créer un monde noir et dépressif ou son opposé utopique et joyeux est une fuite de ce qui est. Pour comprendre ce qui est, il faut le comprendre sans réaction ni histoires car vos pensées concernant ce qui est et la vérité, diffère. Si vous donnez de l’importance à vos pensées avant la vérité, la liberté semblera toujours impossible à vivre.
L’idée, l’opinion est une action de réaction qui maintien dans la répétition conditionnée.
La répétition d’une opinion que l’on a de soi ou sur quelqu’un limitera toujours sa propre expérience de la liberté.
Une expérience limité, par exemple, une situation répétitive qui crée de la peur et de l’anxiété entraînera un enfermement intérieure, qui déclenchera et entretiendra une souffrance. Si comprise l’expérience et la souffrance disparaîtra, sinon finira par revenir sous une nouvelle forme.
En acceptant son handicap et ses difficultés, en ne limitant pas son expérience de la vie avec des jugements ou des opinions qui crée un sentiment de peur, une énergie de peur qui peut s’exprimer ensuite sous différentes formes auto-destructive et violente. On ouvre alors une porte au changement, on laisse la vie nous transporter et nous libérer des peurs, nous laissant dans cet état de liberté complet.
La liberté est un état sans peurs, et toutes les formes qu’elle prends dans l’expérience humaine, que ce soit l’agressivité ou la possessivité, le désir de contrôle ou de sécurité.
Libéré de tout ces états dysfonctionnel, l’être peut exprimer ce qu’il est vraiment dans toute les formes qu’il choisis, un état de créativité et de possibilités infinies sans limitations s’ouvrent pour l’être.
L’absence de liberté est une illusion qui s’est battit à l’aide d’un esprit conditionné, de nombreuses pensées répété et transmise d’une autorité à une autre, créant un état de compréhension et de perception limité de la véritable nature de l’être.
La pensée première de peur qui crée l’illusion met en place des jugements et des opinions sur ce que devrait être la liberté et compare ensuite ses idées avec sa propre expérience limité par lui-même.
Le jugement final « Je ne suis pas libre, il me manque quelque chose, quand je l’aurais, je serais libre » bloque toute possibilité à une compréhension inconditionnel de qui est vraiment l’être.
Entraînant sur un chemin sans fin, une recherche incessante, parsemé de craintes, de déprimes, de souffrances et de petites satisfactions.
La vérité est tellement simple que la plus part d’entre nous qui la cherchons désespérément depuis des années ne pouvons l’accepter dans la beauté de sa simplicité. Attaché à nos limitations et au jeu de cache cache, nous construisons des chemins compliqués qui ne mène nulle part, car il n’y a nulle part ou aller.
La vérité c’est que chacun est libre ici et maintenant, et n’a jamais cessé de l’être à aucun moment. Seulement le jeu de l’oubli de notre véritable nature nous permet de bâtir des murs d’illusions et de croyances pour nous permettre de ne pas nous retrouver facilement.
La construction d’illusions avec le mental, la pensée et émotions ont un formidable pouvoir de création, et pourtant souvent erroné et limité, car d’autres outils sont dissimulés par la pensée elle-même. Comprendre intégralement ce processus de création dysfonctionnel, non pas par l’analyse intellectuelle mais par l’observation sans jugement d’un cœur humble et simple, ouvre la porte sur notre véritable nature libre d’illusions créé par la peur et la répétition.
En vérité je te le dis, tes peurs, qui toutes sont dérivé de la première idée de peur de « Ne pas être qui tu es vraiment » n’existe pas. Car tu ne peux pas être qui tu n’es pas, tu peux seulement le croire. Cette idée créative t’as permis de jouer à un jeu, qui, lorsque qu’il est fonctionnel te permet de créer, aimer librement dans la connaissance de ta véritable nature, en la recréant et la célébrant dans la joie. Le dysfonctionnement de cette peur entraîne toutes les limitations dû au déni de la vérité et de la liberté.
Mais je te le dis, la vérité sur ta véritable nature et ta capacité à aimer et créer ne ta jamais été enlevé, seul tes croyances peuvent te donner le goût illusoire de ce que tu n’es pas. A tes yeux, ce goût te semble réel, car c’est ainsi que tu veux le voir et le sentir.
Si tu perçois tes limitations, tes réactions ou tes illusions, alors les jugements, les nouvelles croyances ou les aménagements de pensées positive ne te donnerons qu’un nouveau conditionnement et non ce que tu souhaites vraiment.
Il te s’agit juste d’accepter ce qui est, sans analyse, sans jugements, sans réactions ou fuites. Laisser ton cœur, la lumière inconditionnelle de ton être éclairer tes illusions construite par une vision fausse.
Un changement profond et immédiat, une compréhension directe du processus mental ouvre la porte à l’état de liberté réel, ici et maintenant. Qui ne s’obtient pas avec une condition quelconque mais quand « l’esprit sain s’installe dans un esprit simple », ainsi « Heureux sont les simples d’esprit car le royaume des cieux leur appartient ! ». Un ordre se met en place de lui même, laissant place à un monde ou la liberté est la seule chose que tu sois.
La liberté est loin de toute les idées et opinions que l’on peut avoir au sujet de ce mot. La liberté est un état de droit donné à chaque être qui comprennent l’illusion fondamentale qu’il y a derrière cette pensée de peur entretenu sous diverse formes.
« Je ne suis pas libre là et maintenant car je ne peut pas être qui je suis vraiment, il me manque quelque chose et alors, quand je l’aurais, je serais libre. »
La liberté se découvre quand toute les illusions et faussent pensées la concernant s’effacent d’elles-même.
La liberté est ce que tu étais, est et sera, rien d’autre que toi même peut oublier cette vérité.
Toutes tes pensées créant ta culture et ton conditionnement t’éloigne de cette expérience de liberté. Mais la liberté n’es pas une expérience, c’est ce que tu es, c’est le cadre dans lequel tu joues avec des expériences. Si la conscience est cet espace dans lequel s’amuse les pensées, la liberté serait cet espace dans lequel s’amuse les expériences limité de qui tu es vraiment.
« Je veux être libre » est une déclaration à toi et à l’univers que tu ne l’es pas, pourtant si quelqu’un te dis, « Tu es libre, alors sois le maintenant ! », Tu peux soit comprendre ce qui t’as amené à créer une réalité ou tu fais l’expérience d’un manque de liberté et immédiatement revenir à ton état d’être naturel. Soit, attaché à ton état de non liberté, tes luttes et histoires, tu peux continuer à la chercher et à croire l’avoir obtenu dans tes victoires temporaire contre tes frères et trouvé dans tes satisfactions mental ou matériel. Sans jugement, tu es libre, aimé et respecté.
C’est ton pouvoir de créer ton expérience, et tu as tout les outils, même dans un état de grande misère et de limitations, même en niant la vérité et d’une façon dysfonctionnel, tu crées.
La vérité ne se décrit pas, pourtant des mots et des messages adapté à ta compréhension l’indique, tu es libre, tu es aimé et magnifique, tu es pardonné, tu es éternel. Tu peux choisir tout une gamme de conditions pour expérimenter dans l’inconscience et l’oubli, dans une impression de manque de liberté, d’amour et de créativité.
La répétition est une caractéristique de ton existence car elle t’amène à expérimenter de façon limité et séparé ce que tu penses être, te créer une idée de toi même et l’expérimenter aussi longtemps que tu ne souhaites pas la changer. Parfois, ce que tu crois être, ce que tu n’es pas, peut sembler avoir le désir d’exister indépendamment de ce que tu es vraiment en déclarant que tu ne peux pas changer. Ainsi la répétition d’expériences que tu considère comme mauvaise, mais qui sont simplement dysfonctionnelles, prennent énormément d’ampleur à tes yeux. Les souffrances, les conflits, les guerres, la misère, l’avilissement et l’indignité sont des mots qui désigne certaines de ces expériences dont est attaché « ce que tu n’es pas » pour se maintenir.
Il n’est pas possible que tu ne finisses pas par te souvenir de qui tu es vraiment, que ce soit en laissant tomber ce que tu n’es pas ici et maintenant ou en laissant le contrôle à ce qui n’est pas et le laisser se dissiper de lui même en suivant sa logique destructrice et finir par vivre l’expérience que tu appels la mort, mais qui est vie.
Je t’invite à le laisser tomber puisque tu exprimes clairement que les expériences de peur ne t’intéressent pas. Mais aucun choix ne sera prit pour toi, ta liberté ne peut être reprise et seulement toi peut rester dans un monde d’illusions et de jeux dysfonctionnels qui résulte du fossé qu’il existe entre ce que tu es et ce que tu souhaites atteindre.
Toutes tes déclarations « Je suis » et « Je ne suis pas » sont des choix d’expériences dans le monde limité et sans liberté que tu as créé.
Bien sûr, tu me dis que ce n’est pas toi qui a créé ce monde et que le conditionnement inconscient de ta culture ne te permettent pas d’être libre au point de changer les « je suis » et les « je ne suis pas ».
D’un point de vue, c’est vrai, tu as raison. Ce point de vue, c’est le tien. Il est inutile et fatiguant de chercher à changer et modifier le contenu quand le contenant est limité et fermé.
Existe t’il un point de vue ou tu es le créateur du monde, de la réalité et de tes expériences que tu reçoit ?
Existe t’il une conscience et un état de création se déplaçant dans le cadre d’une liberté illimité ?
Est il possible d’être cet état à partir de l’état limité et contraignant que tu penses avoir ?
Personne d’autre ne peux donner cette réponse que toi même.
La liberté ne se donne pas, ne se trouve ni ne se gagne, on ne peux l’étudier ou la cultiver, la liberté est seulement un état d’être que l’on a et dont se rappel.
La question du choix dans un état de liberté est une question importante – l’hésitation entre de multiples choix, l’anxiété et la confusion de ne pouvoir choisir dans la diversité des choix, ou encore subir les situations et les personnes extérieures, de n’avoir pas la maîtrise de ses choix, d’être influencé dans un choix ou de ne pas avoir le choix.
Le conditionnement et la vision du monde implanté dans l’esprit détermine les réactions et les comportements schématique et répétitif que l’on prend. L’illusion de la liberté de faire ce que l’on veut est souvent conditionné par de nombreuses peurs qui dirige vers les choix de sécurité et d’enfermement même maquillé par une spontanéité et une gentillesse cultivé. Il s’agit d’une fausse liberté de prison ou l’on choisi la couleur des murs.
La liberté est sans choix, quand on comprend d’un seul mouvement le processus de réactions des peurs et des conditionnements, toutes les confusions et les faux choix disparaissent pour laisser la place à la vérité et l’action qui résulte de la vérité est toujours le choix que l’on souhaite toujours faire.
Et dans cet état de liberté, libéré des peurs ou il n’y a aucun choix autre que ceux émanant de la vérité, apparaît un processus qui n’est pas réaction et répétition mais pure création.
La liberté se découvre quand toute les illusions et faussent pensées la concernant s’effacent d’elles-même.
La liberté est ce que tu étais, est et sera, rien d’autre que toi même peut oublier cette vérité.
Toutes tes pensées créant ta culture et ton conditionnement t’éloigne de cette expérience de liberté. Mais la liberté n’es pas une expérience, c’est ce que tu es, c’est le cadre dans lequel tu joues avec des expériences. Si la conscience est cet espace dans lequel s’amuse les pensées, la liberté serait cet espace dans lequel s’amuse les expériences limité de qui tu es vraiment.
« Je veux être libre » est une déclaration à toi et à l’univers que tu ne l’es pas, pourtant si quelqu’un te dis, « Tu es libre, alors sois le maintenant ! », Tu peux soit comprendre ce qui t’as amené à créer une réalité ou tu fais l’expérience d’un manque de liberté et immédiatement revenir à ton état d’être naturel. Soit, attaché à ton état de non liberté, tes luttes et histoires, tu peux continuer à la chercher et à croire l’avoir obtenu dans tes victoires temporaire contre tes frères et trouvé dans tes satisfactions mental ou matériel. Sans jugement, tu es libre, aimé et respecté.
C’est ton pouvoir de créer ton expérience, et tu as tout les outils, même dans un état de grande misère et de limitations, même en niant la vérité et d’une façon dysfonctionnel, tu crées.
La vérité ne se décrit pas, pourtant des mots et des messages adapté à ta compréhension l’indique, tu es libre, tu es aimé et magnifique, tu es pardonné, tu es éternel. Tu peux choisir tout une gamme de conditions pour expérimenter dans l’inconscience et l’oubli, dans une impression de manque de liberté, d’amour et de créativité.
La répétition est une caractéristique de ton existence car elle t’amène à expérimenter de façon limité et séparé ce que tu penses être, te créer une idée de toi même et l’expérimenter aussi longtemps que tu ne souhaites pas la changer. Parfois, ce que tu crois être, ce que tu n’es pas, peut sembler avoir le désir d’exister indépendamment de ce que tu es vraiment en déclarant que tu ne peux pas changer. Ainsi la répétition d’expériences que tu considère comme mauvaise, mais qui sont simplement dysfonctionnelles, prennent énormément d’ampleur à tes yeux. Les souffrances, les conflits, les guerres, la misère, l’avilissement et l’indignité sont des mots qui désigne certaines de ces expériences dont est attaché « ce que tu n’es pas » pour se maintenir.
Il n’est pas possible que tu ne finisses pas par te souvenir de qui tu es vraiment, que ce soit en laissant tomber ce que tu n’es pas ici et maintenant ou en laissant le contrôle à ce qui n’est pas et le laisser se dissiper de lui même en suivant sa logique destructrice et finir par vivre l’expérience que tu appels la mort, mais qui est vie.
Je t’invite à le laisser tomber puisque tu exprimes clairement que les expériences de peur ne t’intéressent pas. Mais aucun choix ne sera prit pour toi, ta liberté ne peut être reprise et seulement toi peut rester dans un monde d’illusions et de jeux dysfonctionnels qui résulte du fossé qu’il existe entre ce que tu es et ce que tu souhaites atteindre.
Toutes tes déclarations « Je suis » et « Je ne suis pas » sont des choix d’expériences dans le monde limité et sans liberté que tu as créé.
Bien sûr, tu me dis que ce n’est pas toi qui a créé ce monde et que le conditionnement inconscient de ta culture ne te permettent pas d’être libre au point de changer les « je suis » et les « je ne suis pas ».
D’un point de vue, c’est vrai, tu as raison. Ce point de vue, c’est le tien. Il est inutile et fatiguant de chercher à changer et modifier le contenu quand le contenant est limité et fermé.
Existe t’il un point de vue ou tu es le créateur du monde, de la réalité et de tes expériences que tu reçoit ?
Existe t’il une conscience et un état de création se déplaçant dans le cadre d’une liberté illimité ?
Est il possible d’être cet état à partir de l’état limité et contraignant que tu penses avoir ?
Personne d’autre ne peux donner cette réponse que toi même.
La liberté ne se donne pas, ne se trouve ni ne se gagne, on ne peux l’étudier ou la cultiver, la liberté est seulement un état d’être que l’on a et dont se rappel.
La question du choix dans un état de liberté est une question importante – l’hésitation entre de multiples choix, l’anxiété et la confusion de ne pouvoir choisir dans la diversité des choix, ou encore subir les situations et les personnes extérieures, de n’avoir pas la maîtrise de ses choix, d’être influencé dans un choix ou de ne pas avoir le choix.
Le conditionnement et la vision du monde implanté dans l’esprit détermine les réactions et les comportements schématique et répétitif que l’on prend. L’illusion de la liberté de faire ce que l’on veut est souvent conditionné par de nombreuses peurs qui dirige vers les choix de sécurité et d’enfermement même maquillé par une spontanéité et une gentillesse cultivé. Il s’agit d’une fausse liberté de prison ou l’on choisi la couleur des murs.
La liberté est sans choix, quand on comprend d’un seul mouvement le processus de réactions des peurs et des conditionnements, toutes les confusions et les faux choix disparaissent pour laisser la place à la vérité et l’action qui résulte de la vérité est toujours le choix que l’on souhaite toujours faire.
Et dans cet état de liberté, libéré des peurs ou il n’y a aucun choix autre que ceux émanant de la vérité, apparaît un processus qui n’est pas réaction et répétition mais pure création.
Publié dans Liberté
Merci au site ascension-spirituelle pour ce merveilleux texte...
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