20.12.12

ce qu'implique le 21/12/2012 : nouveau monde

Quels merveilleux instants, que ceux que nous vivons actuellement....

 Nous sommes depuis le mois d'octobre 2011, dans une accélération puissante des vibrations terrestres et universelles...  Nous sommes malmenés, ballottés, poussés dans nos retranchements...

Pour tous ceux qui ont besoin de comprendre ces instants, voici un résumé de ce qui se passe réellement, un résumé de ce qui nous est demandé pour accéder à ce nouveau monde, cette nouvelle façon d'être... Ce vers quoi nous allons...

Les temps sont fantastiques, nous sommes tous des Anges, il nous faut simplement OUVRIR
Je vous partage ici un écrit d'Antara, qui est juste, simple et clair. Merci à toi Antara de ta clarté et de ton inspiration lumineuse...


LA CONFIANCE

Faire confiance et avoir confiance sont deux choses différentes.

Avoir confiance, c'est d'abord bien se connaître et avoir confiance en soi. Seulement alors notre confiance en l'autre est justement placée.

Dans le cas contraire, nous prenons le risque de nous tromper....NOUS-MEMES

(j'insiste sur le terme), pour ensuite rendre l'autre responsable de ce que nous n'avons pas sû voir par manque de discernement (nous y somme tous passés).

La confiance, cela se travaille et commence par soi-même.

Il n'y a qu'après avoir démêlé le fil d'Ariane et compris tous les tenants et les aboutissants de « en quoi notre confiance fut mal placée », (qu'avons-nous trahi de nous-même, pour nous laisser trahir ainsi) que nous parvenons à mieux placer notre confiance.

Bien se connaître à défaut de pouvoir connaître l'autre dans sa totalité.

Au jour où, beaucoup de personnes mal intentionnées sévissent, il devient indispensable de savoir faire preuve de discernement, de fermeté parfois, mais toujours dans l'amour et le respect de soi-même et de l'autre, c'est-à-dire sans jugement (un constat n'est pas un jugement, un constat est un fait avéré).

Savoir dire NON ne veut pas dire ne pas aimer. C'est se préserver.

Nous sommes tous capable de faire preuve de discernement par la sagesse en écoutant notre cœur tout simplement (mais peu se le permettent).

Nous ne devons pas dire, faire, « pour faire plaisir » uniquement, si cela renie ce que nous sommes profondément.

Nous n'avons pas à « être gentil pour être gentil » qui relève du comportement enfantin et le besoin d'être aimé, la peur d'être rejeté.

Pour faire confiance sans danger, là encore, il faut avoir défini nos propres valeurs, notre Essence pure, Qui Nous Sommes Vraiment, au-delà de toute « norme » définie par la société.

La société tue nos valeurs et participe à nous faire perdre confiance en nous dès notre plus jeune âge ! Demandez donc aux enfants ce qu'ils pensent de nos règles et de tous nos interdit reflétant en réalité nos peurs...

Notre société prône le « tu ne dois pas », rarement le « tu pourrais » et pose encore moins la question primordiale : quels sont tes rêves ?

Question que nous devrions poser à nos enfants tous petits, afin qu'il les conservent précieusement et de veiller à les aider à tout faire pour les réaliser !

A confiance se construit dès le plus jeune âge, elle doit être arrosée de notre amour CONFIANT justement, comme si c'était la plus rare des plantes, afin qu'elle grandisse et s'épanouisse en toute sécurité.

Heureusement, de plus en plus de parents le comprennent.

A l'âge adulte, nous ne sommes, la plupart du temps, plus conscients de notre rêve d'enfant.

Mais il est là toujours, dans le secret de notre âme...

Il faut aller le rechercher....

QU'AIMERAIS-TU VRAIMENT DANS LA VIE ?

TON COEUR LE SAIT, s'il est capable de passer par-dessus les barrières du miroir de « l'impossible » tellement ancré en nous, arrosé des bonnes intentions de nos proches, de nos amis, soucieux de notre bien-être bien sûr, mais blindés de leurs propres peurs non résolues.

CHOISISSEZ.

Choisissez votre (vos) rêve(s) !

Et décidez de les raccrocher !

Alors seulement la confiance sera née et saura se placer.

« Que ton « oui » soit OUI ! Et que ton « non » soit NON !

Ainsi parle notre cœur lorsqu'il est en paix.

Texte de Nathalie YOT

Vous pouvez reproduire ce texte à condition d'en citer l'auteur.




LA QUESTION (complexe) DU PARDON

D'aucun nous disent IL FAUT pardonner...bien entendu.

Seulement, comment, à moins d'être une personne parfaitement équilibrée dans sa vie, ayant transcendé tout son être au point de savoir rester centrée en toute chose y parvenir ?

A moins d'avoir des ailes, ou d'être touché par la Grâce Divine, nous ne pouvons atteindre la sommet de la montagne en une seule fois !

En vérité, nous ne pouvons en réalité pardonner tant que nous ressentons une blessure.

Alors...comment faire ?

La première étape est de reconnaître sans culpabilité et de valider que nous sommes meurtri, blessé, en colère. Cela est acceptable puisque cela est vrai. Le nier ne nous fait pas avancer d'un ïota.

Le tout est de ne pas resté coincé dans ces sentiments de basse vibration qui nous abîme (creusant l'abîme en nous) si nous ne voulons pas que la blessure devienne une plaie béante !

Nier, occulter, et passer à autre chose ne nous fera que rencontrer de nouveau les mêmes fantômes : les nôtres.

La deuxième étape est de s'arrêter un instant et de se poser la question : pourquoi avons-nous été blessé ? Qu'est-ce qui a fait que nous nous sommes laissé atteindre ? Pourquoi avons-nous été meurtri par une personne, un événement ?

QU'EST-CE QUE CELA A TOUCHE EN MOI ?

Et si cela avait touché quelque chose que nous n'avons pas règlé ?

Qu'avons-nous à comprendre ?

Ce qui bloque dans notre vie, que nous vivons à l'extérieur de nous est l'indication (précieuse!) de quelque chose qui bloque (depuis fort longtemps en réalité) à l'intérieur de nous (de manière inconsciente le plus souvent ou bien parce que par peur de souffrir ou du jugement des autres, manque d'aide, nous ne voulons pas voir).

Troisième étape (salutaire!) : accepter sa colère, sa blessure, dire « non, je ne suis pas d'accord avec ce qu'on m'a fait, ce que je vis : CELA FAIT MAL ! ».

Mais ensuite, se demander « en quoi suis-je responsable pour une part que cela soit arrivé ? Qu'est-ce qui, dans mon être, mes pensées de moi, mon attitude, mes peurs, mes doutes, mes besoins, a permis cela ? ».

Accepter permet de se libérer et de sortir de la culpabilité qui ne fait que créer une spirale descendante nous rendant peu fier de nous, de l'autre, et ne laissant aucune place au pardon.

Comprendre la leçon de vie que la vie nous offre, le voir ainsi permet de relativiser.

C'est avant tout d'un regard sincère et objectif avec soi-même que peut venir le pardon libérateur.

Le pardon, c'est se dire « Ok...je m'avoue que j'ai été blessé(e) par telle personne ou telle situation parce que j'en attendais quelque chose de précis. Je n'ai peut-être pas fait attention ou compris que l'autre (les autres) étaient eux-aussi dans une attente particulière qui pouvait ne pas correspondre à la mienne à cause de leurs propres manques, leurs propres blessures, leurs propres peurs... »

Pour avoir de bonnes relations, nous ne devrions être dans aucune attente, avoir défini QUI nous sommes vraiment, savoir ce que nous voulons et ce que nous ne voulons pas. Cela permet de tenir debout seul, quelles que soient les circonstances de notre vie.

Tenir debout seul permet de ne jamais être blessé (ou alors pas longtemps, car capable de comprendre ce qu'il se passe réellement) et laisse l'autre libre de prendre ou pas, sans que nous nous sentions remis en question pour autant...libre de partir sans que nous nous sentions abandonnés ou non aimé, nous laissant juste joyeux, ouverts à d'autres choses à venir...

Rester centrés, ouverts et surtout à l'écoute (de nous-même et de l'autre), prêts à donner et à recevoir.

Pardonner, c'est simplement savoir s'aimer suffisamment.

Ainsi nous sommes capable d'aimer les autres en tant qu'êtres, tout en sachant refuser sereinement les actes qui ne nous correspondent pas.

Chacun a le droit à l'erreur. Chacun a le droit au trésor de la leçon d'amour de la vie.

En cela, le Christ a dit « que celui qui n'a jamais pêché lui jette la première pierre »

« Connais-toi toi-même » est le meilleur moyen d'arriver au pardon. Car alors,...il n'y aura rien à pardonner...car nous ne nous serons pas laissé blesser.

Texte de Nathalie YOT

Vous pouvez reproduire ce texte à condition d'en citer l'auteur.





LA QUESTION DES « DONS »


Parlons des « dons » que beaucoup pensent ne pas avoir.

Il n'y a pas de bonne fée se penchant ou non sur un berceau plutôt qu'un autre.

Nous naissons tous avec les mêmes possibilités de développer ou non nos dons innés et inhérents à toute personne. C'est en réalité notre véritable nature, notre nature divine qui s'exprime.

Simplement nous ne sommes pas tous de la même essence et notre nature divine peut s'exprimer de maintes façons mais toujours en relation avec ce que nous sommes profondément.

Il est certain aussi que ces « dons » n'ont la possibilité de naître et de prendre leur place en nous que lorsque nous cessons de bloquer nos énergies, le canal qui leur permet de « passer » en nous.

En nous guérissant, en nous débarrassant de nos nœuds, en entrant dans notre propre « résonance », nous développons instinctivement de nouvelles capacités qui étaient là mais nous étions endormis (et pas elles). Une fois que nous leur avons fait de la place il n'y a rien à faire : elles surgissent ! À nous à partir de ce moment d'apprendre à les utiliser en Conscience et à bon escient.

Ce qui est gênant est que le mot « don » soit perçu en tant que qualité et que du coup, lorsque nous n'avons pas encore fait sur nous le travail permettant de les laisser s'exprimer, nous pensions « je n'ai pas de don » et par là, accordions une certaines « puissance » voire un certain « pouvoir » à ceux les expérimentant déjà alors qu'il suffirait de comprendre que nous sommes tous sur le même chemin sauf que nous ne partons pas tous à la même heure pour faire ce voyage !

Il serait bien plus juste de parler d'ART.

Nous sommes des artistes qui jouons notre Son, unique, lorsque nous créons.

Il y a différentes sortes d'Art : l'art d'écouter, l'art de transmettre, l'art de soigner.....et bien d'autres encore certains regroupant tout cela à la fois, utilisant plusieurs « palettes », plusieurs tons, plusieurs « nuances ». Les choses de l'esprit sont SUBTILES c'est pourquoi il est bon de ne pas les « arrêter » à une définition unique. C'est un chant, c'est une danse, un balai, une chorégraphie incessante, toujours perfectible, en l'affinant toujours plus.

C'est pourquoi les méthodes peuvent et doivent à un moment donné être dépassées, transcendées, afin de parfaire notre Art, de l'affiner, l'imprégner de notre essence, le marquer de notre seau, y inscrire l'empreinte de notre âme.

Soyons des Artistes jouant la mélodie de la Vie avec notre propre Son et cessons de nous «comparer » et de penser les choses en « plus » ou en « moins » qui ne font que retarder ce moment où à notre tour nous pourrons aider à travers notre propre vibration, notre note placée justement.

Texte de Nathalie YOT (Antara)

Vous pouvez partager ou reproduire cet article à condition d'en citer l'auteur.




IL EXISTE UN CHEMIN


Les choses de Dieu sont simples.

Le chemin menant à Lui aussi.

Une vie saine, se libérer du passé, trouver Qui Nous Sommes Vraiment en validant notre Vérité

(comme il y aura toujours quelqu'un pour la contredire, c'est humain).

Qu'est-ce que notre Vérité ?

Comment la trouve t'on ?

En choisissant ce qui est bon pour nous au présent, mais sans rien fermer, en connaissant que nous sommes en perpétuel agrandissement, évolution.

Ne jamais se barder de certitudes, tout en rejetant l'incertitude.

CHOISIR ce qui est bon pour nous et non regarder ce qui est dans le champ de son voisin.

Il y aura toujours plus belle fleur...mais...beaucoup d'orties aussi !

Laissons donc Dieu faire et agir à travers nous.

Faisons-Lui une place.

Chacun doit voir midi à sa porte (merci les Anciens pour vos sages dictons pas toujours assimilés).

Sur notre chemin, nous rencontrons beaucoup d'être en train de s'éveiller.

Ils ne sont pas là pour nous imposer mais pour proposer ; eux-même portent leur propre Vérité et avancent sur leur chemin. Tout comme nous.

A nous, de savoir faire preuve de discernement afin de ne pas nous approprier ce qui fait partie de la Vérité de l'autre ou de nous en servir pour agrandir ou compléter la nôtre. Notre cœur sait. Lorsque quelque chose fait partie de notre Vérité, l'information est limpide et claire, elle est une évidence, elle résonne comme un écho à notre mémoire oubliée.

Eux-mêmes, ont leur propre Vérité. Rappelons-nous que Dieu nous a créé multitude, pour Son propre plaisir.

Prenez CE qui résonne à votre cœur qui peut agrandir votre propre Vérité, sachant qu'elle n'a pas de fin, qu'elle est à découvrir et à re-Créer éternellement pour la plus grande Gloire de Dieu.



Imaginez un instant vous retrouver sur une île déserte, sans le wifi, sans livre, sans personne à écouter...pour un long temps.

Croyez-vous que Dieu n'ait pas prévu un chemin pour L'atteindre ?

Et quel est-il sinon en nous ? Accessible....

Nous avons tout en nous. Il s'agit de le réveiller, de nous réveiller.

En cela, nous n'avons en réalité BESOIN de personne. Je ne dis pas qu'il ne faut pas écouter...

Je dis que MEME SEUL, le chemin menant à Dieu est accessible. Car Il est à l'intérieur de nous.


Quand Dieu dit : « Heureux les simples d'esprit, ils seront appelés Fils de Dieu »...que croyez-vous qu'Il veuille dire ?


Bien à vous.

Nathalie YOT (Antara)


En toute chose utilisez toujours votre discernement. Il est le chemin de VOTRE Vérité.


Vous pouvez reproduire ce texte à condition d'en citer l'auteur.




LA CLE C'EST VOUS !

Je voudrais rassurer les personnes qui disent ou pensent « je ne connais pas toutes les choses du chemin d'éveil, je ne sais pas comment ça marche, ce qu'il faut faire, je n'ai pas de « don »... » et sont très inquiets en vue de l'Ascension.

Je souhaite dire ici que certains d'entre-nous sommes de vieilles âmes ayant déjà beaucoup cheminé depuis d'anciennes vies et qui ont acquis un certain degré de conscience qui a facilité notre r-éveil nous permettant de ré-accéder plus vite à nos mémoires anciennes (car nous ne faisons rien de nous-mêmes, nous sommes grandement aidés). Mais il ne s'agit pas là d'une notion de valeur, ni d'une course.

Il n'est pas demandé de tout connaître, c'est impossible, les mondes étant en perpétuelle évolution, principe même du divin qui est expansion.


Une personne qui a ses deux jambes en bonne santé peut marcher et courir. Celle qui n'en a plus l'usage ne le peut pas. Cependant, l'un et l'autre expérimentent des choses difficiles chacun à sa mesure. S'ils ne s'arrêtent pas aux obstacles apparents (ce qui relève de la force mentale et de l'acceptation ou le refus), et décident de les contourner, ils se réaliseront parfaitement l'un et l'autre, chacun en son domaine possible.

J'ai personnellement rencontré un magnifique artiste paraplégique de naissance qui peignait de véritables chefs d'oeuvres (grandes toiles) avec la bouche ! D'autres le font avec leurs pieds !

J'ai deux mains et deux pieds opérationnels mais pourtant je suis bien incapable d'en faire autant !

Cette personne a ouvert une galerie car son rêve était de venir en aide à sa maman qui l'a élevé seule et durement lui permettant de se réaliser avec 7 autres de ses frères et sœurs afin de pouvoir lui acheter une maison et la mettre à l'abri pour qu'elle puisse enfin se reposer !

Voilà ce que peut faire la Force de l'Amour pur !

A toutes ces personnes, je dis donc :

Ce qui est important et ce qui compte et ce qui vous est demandé, c'est d'accepter là où vous vous tenez au présent, en votre centre UNIQUE et de suivre votre cœur.

Pour celles et ceux qui seraient inquiets, parlons clairement, de faire ou de ne pas faire ce passage après le 21 décembre 2012, il est simplement demandé un cœur juste, confiant, droit et pur.

Qu'est-ce que cela veut dire concrètement ?

Cela veut dire que quoi que vous ayez expérimenté par votre vécu jusqu'ici, regardez-le, sans vous juger, mais comme une expérience.

Jugez-vous vous-même, honnêtement, en faisant la part de ce que vous avez produit de juste ou non. Demandez pardon quand vous le pouvez, réparez si vous le pouvez (demander pardon répare) ET pardonnez-vous ! C'est-à dire cessez d'en porter culpabilité. Que l'on vous pardonne ou non n'a aucune espèce d'importance. Soyez droits c'est tout ce qui compte.

Puis, CHOISISSEZ enfin ce qui est bon pour vous, en votre âme et conscience, ce que vous voulez VRAIMENT, sans tenir compte de l'avis de qui que ce soit, ou de ce que vous croyez être des impossibilités. En cela : remettez tout entre les mains de Dieu (l'Univers) qui connait les portes à ouvrir pour vous.

Soyez comme le petit enfant de 3 ans, qui aime sincèrement ses parents et est repris pour une bêtise et promet de tout son cœur de ne plus recommencer et s'y tient. Par Amour.

Dieu reconnaîtra les Siens.

Avec tout mon Amour qui se déverse dans vos cœurs je vous dis : Soyez sereins.

La clé est en vous. Soyez simples.

Nathalie YOT (Antara)

Vous pouvez copier ce texte à condition de citer son auteur.




LE SEMEUR ET LE CUEILLEUR


Lorsque vous rencontrez une personne, qui vous donne une parole de Lumière,

qui vous élève et vous fait du bien,

prenez comme vous cueilleriez une fleur,

prenez mais ne déracinez pas, afin que naisse une autre fleur,

pour la prochaine âme qui passe.


Laissez la graine libre de repousser,

et l'être qui la plante, libre également.

Vous ne pouvez emporter la graine avec la fleur, ni le semeur.

Il y a bien des semeurs de fleurs et vous en êtes un(e) également.

Vous n'avez pas besoin de maître, pour apprendre à être semeur.

Vous êtes le semeur et le cueilleur en même temps.


Libre.

Libre d'être

Libre d'exister

Libre de semer au gré du vent


Texte de Nathalie YOT (Antara)


Vous pouvez le reproduire à condition d'en citer l'auteur.





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