15.11.12

Nous sommes ce que nous mangeons





Je viens de lire un texte, et je vous le partage ici.... Il est tiré du site de Claude Tracks
et synchronicité parallèle, mon Naturopathe vient de me tenir le même discours...
Pierre Lessard, lui aussi parle de manger en conscience...
Nous sommes ce que l'on mange...


Après une analyse de mon alimentation sur une semaine, j'ai pu remarquer aussi que mon humeur, mes émotions oscillaient, en fonction des aliments de mon alimentation et des boissons, même si j'ai proscris l'alcool depuis longtemps, quant au café, je ne l'ai apparemment pas encore assez réduit. Le thé commence à s'immiscer comme boisson plaisir.

Voici l'article de Claude Tracks (je vous le livre tel que), afin de ne rien modifier de cet enseignement,, qui personnellement m'interpelle encore un peu plus.

L'Alimentation
Sommaire

Introduction n°1
La relation entre Nourriture et Emotion.
Une alimentation moderne pour nous freiner dans notre développement intérieur.Introduction n°2

Nous sommes ce que nous mangeons.
Introduction à la nourriture pranique.
Phrases à remettre en question.
A propos de Jésus...


1 > Les Sucres Ajoutés.
L’Asparthame.
Comment notre corps se nourrit-il ?

2 > Le Blé.
3 > Les Produits Laitiers.
4> Le soja non fermenté.

5 > L’Alcool.

6 > Le Café et le Thé.

7 > Le Sel ajouté.

8 > Les Pomme de Terre.

9 > La Nicotine.10> La Nourriture Crue!

11> Etre Végétarien.

12> Se nourrir de Lumière!

Conclusion.


Le cercle vicieux de la nourriture moderne.
Adapter son alimentation à son niveau spirituel.
L’important c’est de ne pas avoir d’habitudes alimentaires.
Manger consciemment c’est connaitre les effets de chacun des aliments sur nos différents corps.

INTRODUCTION n°1

Et si l’épisode de la pomme dans la Bible avait une signification tellement simple que presque personne n’y pense : l’homme a perdu ses pouvoirs et donc son environnement Divin lorsqu’il a commencé à manger ! Car qu’il soit bien clair qu’il n’est pas nécessaire de manger de nourriture solide ! Je connais personnellement plusieurs personnes qui en sont à ce stade. Il est cependant important de préciser qu’ont peut se nourrir de lumière (ne pas manger de nourriture solide) et à la fois ne pas être au service de la libération de l’Humanité. Arrêter de manger n’est pas si difficile, car il s’agit de notre nature. Par contre, libérer notre corps physique de toutes les graines et habitudes de la culture patriarcale qui sont imprégner dans la plupart de nos cellules, ça c’est un travail de guerrier ! Arrêter de manger des nourritures solides est très dangereux si on n’est pas assez libérés des graines des cultures patriarcales. Si on prend le fait d’arrêter de manger comme une fin en soi, cela ne mène à rien car tous nos bobos, toutes nos blessures vont avoir de plus en plus d’emprise sur notre vie. Par contre, une fois qu’on a assez travaillés afin de ne plus avoir d’attaches plus « attachantes » que celle à notre Divinité intérieure, l’envie de manger le moins possible s’impose lentement et surement !

Le concept de manger est aussi l’un des piliers de la dualité car il divise le monde entre ce qui est dans moi et ce qui est à l’extérieur de moi.

De plus certains aliments ont été mis dans notre alimentation moderne pour freiner notre développement intérieur, le développement de notre Conscience et la descente de notre être Divin dans nos corps.

La nourriture est un sujet très délicat à traiter car nous entretenons un rapport affectif avec elle! Cela vient de notre enfance. Lorsque nous pleurions bébé c’est parce que nous voulions de l’attention et de l’amour, et bien souvent on a répondu ànos attentes en nous donnant à manger.

La première fois, c’était juste après notrenaissance qui, en Occident reste l’une des expériences les plus traumatisantes denotre vie. La chaleur et le sucre naturel qui se trouvent dans le lait nous ont rassurés!L’attachement à la nourriture, et ici au lait, est proportionnel à l’état de souffrancequ’il nous a fait oublier. Cette règle est aussi valable dans les relations amoureuses.

Petit à petit, nous avons associéle fait de manger et la nourriture affective. La plupart d’entre nous avons donc unrapport affectif très puissant avec la nourriture. Bien souvent, lorsqu’on a le cafard,on se met à manger. De ce fait, manger ne sert pas uniquement de nourriture organique.Il s’agit aussi de nourriture affective ou émotionnelle. Le reflexe de connecterla nourriture avec l’attention de nos parents est un excellent exemple du faitque les émotions que l’on ressent prennent leurs racines dans le passé et pas dansle présent. En fait, on n’est pas nourri émotionnellement parce qu’on mange.

On est nourri émotionnellement, car on associe (souvent inconsciemment) le fait de manger avec une émotion agréable. Le fait de manger nous rappelle ces moments de réconfort, et après, par automatisme, le cerveau fabrique des produits qui nous font vivre des sensations similaires. D’autres réagissent à leur cafard en cessant de s’alimenter de manière suffisante. L’une des causes pourrait être qu’ils ont acquis ce réflexe lorsqu’ils étaient bébé, afin d’attirer l’attention sur eux. Bien sûr, il peut y avoir 144000 autres raisons à cela.

Certains aliments sont la base de notre alimentation dans le but de faire “tomber” la Conscience de l’Humanité au plus bas possible.
Encore une fois, c’était juste et maintenant nous avons aujourd’hui le choix de nous “détacher” d’elles ou de continuerces addictions. L’idée n’est pas d’un coup de se forcer à ne plus jamais toucherà ces aliments, mais de trouver un équilibre par rapport à notre balance yin yang del’instant. Bien sûr, par la volonté, nous pouvons transmuter toutes ces nourritures,mais comme le dit très bien Steiner, à quoi cela sert-il d’ingurgiter une nourriturequi fait tel ou tel effet si l’on désire le contraire?

Les aliments dont je vais vous parler ont de nombreuses similitudes avec les “réelles drogues”. Une drogue est une substance, une personne, une habitude devie, bref quelque chose que l’on pratique quasi tous les jours et qui influence notre conscience, change nos perceptions et crée une accoutumance, une addiction.Les habitudes sont les “habits qui tuent” et les rituels sont les “rites qui tuent elles”, car elles tuent la spontanéité, l’éternellement nouveau qui est la caractéristique principale de la vie et du principe féminin.

Le plus grand des rituels, surtout en France, c’est manger.

Lorsqu’on aime sa vie, manger devient beaucoup moins important. Au contraire, on veut manger le moins possible afin d’être le plus léger et avoir le plus de temps et d’énergie pour vivre et créer. Lorsqu’on est dans un état Amoureux, on n’a plus besoin que de se nourrir d’Amour et d’eau fraîche, non?

Tout ce qui suit se base sur mes expériences personnelles faites sur mon propre corps. Je les ai enrichies par les travaux de Steiner ainsi que d’autres chercheurs queje citerai au fur et à mesure. Au travers d’amis et de personnes que je coache, j’ai puréaliser que certains aliments ont un effet intangible sur les différents corps. Parcontre, comme nous sommes chacun à des étapes différentes de la vie, l’aliment X peut être adéquat pour Monsieur Y et néfaste pour Madame Z. Cela est tout simplement possible car dans sa phase de vie, Monsieur Y a besoin de tel effet, alors que Madame Z en a déjà fait une overdose. Je vous encourage donc à devenir votre propre diététicien. Cela n’empêche pas de consulter des spécialistes pour avoir d’autres points de vue. Lorsque vous consultez ces mêmes spécialistes, je vous conseille de leur demander pourquoi est-ce qu’ils vous conseillent d’ingurgiter telle ou telle substance. Il me semble que, pour être libre, il est important de comprendre le pourquoi et le comment des choses.

INTRODUCTION n°2

Nous sommes ce que nous mangeons.
Chaque aliment a sa spécificité. Il produit telle ou telle action sur le corps.
Les ouvrages les plus précis que j’ai trouvés à ce jour sont les livres qui relatent les conférences de Rudolf Steiner. Bien que je reconnaisse que chacun d’entre nous n’en est pas au même stade d’évolution spirituelle, et donc a besoin d’une nourriture appropriée à son état, je prétends que l’être humain va continuer de se développer en ingurgitant de la nourriture de plus en plus légère, de moins en moins dense. Encore une fois, ce n’est qu’en expérimentant les différents styles de nourriture que vous pourrez faire votre choix. Un essai minimum dure 21 jours. Je continue à croire qu’il est aberrant de suivre tel ou tel type de régime pré-conditionné. Nous sommes tous différents, et si nous arrivons à nous connecter avec notre intuition, elle saura nous diriger vers la nourriture dont nous avons réellement besoin. Il est aussi important de manger en harmonie avec nos croyances. Tant que notre cerveau logique sera persuadé qu’il a besoin de viande pour survivre, il sera mauvais pour nous d’arrêter de
manger de la viande. Notre mental joue donc un rôle important quant au choix de notre alimentation. Mais n’oublions pas non plus que notre mental est là pour nous servir, et non pour nous diriger. C’est encore une fois à nous que revient la tâche d’éduquer notre mental.

Pour accéder au statut d’être humain, je prétends donc que notre espèce suivra plus ou moins les étapes suivantes, dans des ordres différents selon les individus.
• Carnivore
• Carnivore, mais uniquement des poissons
• Végétarien (ni viandes, ni poissons)
• Végétalien (aucune substance provenant du règne animal. Donc pas d’oeuf, de graisse animale, de produits laitiers etc…)
• Crudiste (aucune alimentation cuite)
• Frugivore (uniquement des fruits. En effet, il faut arracher un légume, alors que les fruits tombent d’eux-mêmes. Cela induit donc moins de souffrances que de ne manger que des fruits)
• Aquavore (ne boire plus que de l’eau)
• Énergétivore (ne se nourrir que d’énergie)

Le dernier point est très controversé. Je prétends qu’il est possible de vivre en ne se nourrissant que d’énergie vitale. Pour cela, il faut avoir assez foi dans le pouvoir illimité de la pensée. Si l’on n’a pas cette croyance, ça ne marche pas. Notre corps s’adapte à nos croyances. D’où, encore une fois, l’importance de s’aménager des moments pour penser afin de déceler quelles sont nos croyances. Quant à ceux qui objecteront en disant que nous sommes faits de matière, je leur rappellerai que ce que nous appelons "matière", c’est de la musique figée, donc de l’énergie. Toutes les matières ont été créées par la force de l’esprit.

Je vous conseille le livre de Jasmuheen “Vivre de Lumière” (Editions Vivez Soleil), qui fait assez confiance à la puissance de l’énergie pranique pour s’en nourrir depuis plusieurs années. En d’autres mots, elle n’a plus rien avalé ni bu depuis 60 mois. Il paraît qu’ils sont déjà plus de 5000 sur Terre à ne plus se nourrir que de lumière. Mais pas de panique. Je ne prétends pas non plus que nous devons tous en arriver à ce stade d’ici à 2012. En fait, je ne sais pas quand ça va venir, mais je sais que c’est dans cette voie que nous nous dirigeons.
Personnellement, j’explique chaque jour à mon corps qu’il n’a plus besoin de "manger" pour se nourrir. Je le fais à voix haute, car je sais que chacune des cellules de mon corps a des oreilles. Je lui demande quand même de bien digérer la nourriture que j’ingurgite, car cela m’aide à gérer mon corps émotionnel. Je me conditionne ainsi au fait que je n’ai pas besoin de manger, mais que je le fais par plaisir… et la différence est très importante.

Pendant longtemps, je n’ai pas compris pourquoi Jésus-Christ avait "proposé" à ses disciples de manger du pain et de boire du vin. Je pensais que c’était une manipulation de plus de ses dires. En effet, après l’avoir à maintes reprises testé dans mon laboratoire intérieur, j’affirme que le blé et l’alcool nous éloignent de notre être profond. J’ai mis du temps à comprendre que tous ces aliments (caféine, nicotine, pomme de terre, etc) ont en fait joué un rôle d’accélérateur dans notre évolution. Durant la “nuit galactique” dont nous sommes en train de sortir, il était très important que nous tombions le plus bas possible… Plus bas nous tomberions, et plus fort nous allions rebondir… Il a donc bien fallu que la Création trouve des humains pour travailler à cette noble cause. Je fais mes humbles excuses à toutes les entités auxquelles j’ai envoyé des pensées d’amour non-abouti. Je l’ai fait par ignorance. À l’époque je ne me souvenais pas encore à 100% que TOUT avait un sens et que ce sens était que nous évoluions au mieux et au plus vite… Cela n’empêche que cette période est révolue. Je ne prône pas l’interdiction de toutes ces substances. Il est vital que chacun puisse garder son libre arbitre. Je demande une campagne d’informations à grande échelle, afin que chacun puisse choisir en conséquences. "Ils" ont donc tenté de ralentir l’évolution des Terriens en les conditionnant à abuser de certaines nourritures "dénaturées" et d’"excitants". L’effet recherché était de ralentir l’évolution et l’éveil des consciences, l’intelligence et le niveau de santé. Comme tous les poisons, les éléments suivants peuvent avoir un effet curatif à moindre dose ou/et être utilisés de manière occasionnelle, et un effet nocif à grande dose et/ou être utilisés de manière habituelle. Comprenez bien qu’il n’existe pas de poison… Même l’eau ingurgité en grande quantité peut être un poison. Tout est une question de quantité.

Toutes les substances suivantes ont un haut pouvoir "addictif" et surcharge le système immunitaire. Parmi ces substances: la nicotine (qui tend à provoquer une angoisse subtile permanente), l’alcool (qui tend à diminuer la suprématie du "Soi"), le chocolat (qui tend àprovoquer un dérèglement affectif), la pomme de terre (qui tend à rendre matérialiste et qui détruit les yeux, la vue et le goût), le blé industriel (qui tend à provoquer le contraire de la méditation sur l’activité électrique du cerveau, rend nerveux et agressif), les produits laitiers (qui, surtout une fois "pasteurisés", ont un haut pouvoir pathogène), le café (qui tend à favoriser la pensée logique "dépendante" au détriment de la pensée logique "indépendante", le thé (qui tend à favoriser la pensée sans consistance, défavorise la pensée ordonnée, qui tend à nous faire fonctionner sur un mode qui a des difficultés à mettre deux pensées ensemble) et le sucre raffiné (qui tend à renforcer l’égocentrisme).

Phrases à remettre en question (surtout pour les enfants) :

“Quand l’appétit va, tout va.” -> C’est justement le contraire.
Plus on est heureux, moins on mange. Moins on est heureux, plus on mange.

“C’est scandaleux de jeter alors qu’il y en a qui meurent de faim.” ->C’est justement le contraire.
Moins on mange, mieux on peut penser à des moyens d’aider ceux qui ont faim.

“Finis ton assiette.” ->Ne vous forcez jamais à finir votre assiette. Au contraire, “the best”, c’est de sortir de table en ayant encore un peu faim.

“Mange et tu seras grand et fort.” ->C’est justement le contraire.
Au plus tu manges, au plus tu seras mou et pas «grand».

Si vous voulez en savoir plus sur les influences de l’alimentation sur le développement spirituel, je vous conseille vivement «Alimentation et Santé» et «Alimentation et Développement spirituel» de Rudolf Steiner.
Beaucoup de personnes influencées par la religion chrétienne sont choquées par le fait que je prétende qu’il n’est maintenant plus nécessaire de manger du pain, de la viande et de boire de l’alcool. Rudolf Steiner explique très bien à quel point “la Cène” a été mal interprétée, ainsi que la fameuse phrase du Christ: “Ceci est mon corps, ceci est mon sang.” Que les non-croyants ne soient pas choqués lorsque je parle du Christ. Pour moi, il s’agit d’un humain comme vous et moi, qui, par le travail et la persévérance, a acquis un niveau de conscience que certains appellent la conscience christique. Mais revenons-en à la fameuse phrase: “Ceci est mon corps, ceci est mon sang.” “Par là il a voulu créer une transition de la nourriture carnée à la nourriture végétale, une transition vers quelque chose de plus évolué. Il existait alors deux catégories d’hommes: d’abord ceux qui se nourrissaient de viande et de sang, les humains préchrétiens sur lesquels le Christ ne comptait pas; ensuite il y avait ceux qui se contentaient de ne tuer que les plantes et d’en tirer le suc: ceux qui mangent le pain et boivent le vin. C’est sur eux qu’il comptait. Ils sont les avant-coureurs de l’humanité du futur. La signification de la Cène est de passer de l’alimentation tirée de bêtes mortes à une alimentation tirée de plantes mortes. Lorsque notre cinquième sous-race sera parvenue à son terme, on comprendra le sens de la Cène. Ce sera le cas dans la sixième sous-race. On ne consommera plus aucune nourriture carnée. D’ici-là, il sera possible d’introduire une troisième forme de nourriture, la nourriture purement minérale. L’homme aura appris à fabriquer lui-même sa nourriture. Pour le moment, il reçoit ce que les dieux ont créé pour lui. Par la suite il s’élèvera et préparera lui-même dans des laboratoires chimiques (il ne fait nullement ici référence aux laboratoires chimiques actuels, mais à l’alchimie future qui permettra de ne se nourrir que de nourriture pranique) les aliments dont il a besoin. (…) Lorsque nous trouvons chez les Orientaux de l’Antiquité toutes sortes de prescriptions sur ce qu’il faut manger, il ne s’agit pas à vrai dire de directives, mais simplement d’un récit: Tu ne dois pas exiger des substances qu’elles agissent autrement qu’elles ne le font.

Ce que le Christ (comprendre conscience christique) éliminera par la suite, ce qui sera réellement sacrifié une fois que la Cène n’existera plus, c’est le corps physique. Il est destiné à mourir. Cette mort du corps physique s’appliquera à l’ensemble de l’humanité. Vers le milieu de la sixième race primitive, au cours de son dernier tiers, il n’existera plus de corps physique. L’homme sera de nouveau entièrement éthérique. Il sera fait d’une substance bien plus subtile. Mais cela ne se réalisera pas si l’homme lui-même ne fait pas le nécessaire pour que cela arrive. Dans ce but, il doit d’abord passer à la nourriture qu’il produira lui-même dans des laboratoires. Dans la mesure où l’homme ne prélèvera plus sa nourriture dans la nature, mais où les aliments seront le produit de sa propre sagesse, les produits du dieu qui l’habite, il s’engagera sur la voie de sa propre déification.”
«Alimentation et Développement Spirituel», de Rudolf Steiner.

Ceci est d’ailleurs tout à fait logique. Le Christ n’a pas du tout voulu dire: “Mangez-moi” Qui voudrait qu’on le mange?!?

1- LES SUCRES AJOUTES.

Ils créent des dépendances, des montagnes russes émotionnelles qui passent par des stades de surexcitation, de Joie à tendance hystérique, de cafard, de colère, etc. Le fait que les sucres ajoutés créent des déprimes ou des crises de colère chez énormément de concitoyens est une information qui devrait être traitée en priorité nationale à l’heure où les guerres et les violences urbaines et familiales explosent dans toutes les parties du monde dit civilisé. Cela peut faire sourire, pourtant nous vous affirmons que la majorité des violences sur Terre pourraient être évitées avec une nourriture plus adaptée. Les seuls sucres “bons” pour le corps et notre évolution sont les sucres que l’on trouve à l’état naturel dans des aliments comme les fruits. Même si les différents sirops sont un moindre mal, ils sont aussi un obstacle à un certain niveau de Conscience.

Quant à l’aspartame (E951) que l’on retrouve aujourd’hui dans plus de 7.000 produits en France qui sont soi disant “sans sucre” comme les sodas light, il s’agit du pire des pires. Ils font partie des pires des poisons pour l’âme. Ce qui va suivre pourrait me coûter une balle dans la tête, alors s.v.p., faites passer l’info au plus vite. L’aspartame est en fait une arme chimique fabriquée par des fabricants d’armes dans le but de la fameuse guerre intérieure silencieuse dont je vous parle dans l’appendice à propos du gouvernement mondial invisible. Derrière tout cela, on retrouve encore une fois notre ami Georges B. et ses amis! Franchement qu’est ce que l’on ferait sans eux! Il joue vraiment un rôle super efficace pour nous mettre un maximum de bâtons dans les roues de notre évolution afin que nous puissions apprendre le discernement et ouvrir notre Conscience! Sachez que je ne dis pas cela en blaguant, je le pense vraiment! Donc, l’un des grands amis de la famille Bush, Donald Rumsfeld était le président de SEARLECorp. qui découvrit l’aspartame (soi-disant) “par accident”. SEARLE Corp. est une société qui fabrique des armes! Ces dernières années, elle a eut plus de pouvoir que le Sénat Américain.

Elle a eu un impact décisif pour que les USA débutent les deux guerres contre l’Irak. L’aspartame fut mis sur le marché en 1974 alors que Rumsfeld était secrétaire général de la Maison-Blanche. Quelques mois plus tard, l’autorisation est supprimée suite à de nombreux effets toxiques constatés sur le cerveau et le

système nerveux. Parmis les 174 études réalisées sur l’aspartame, toutes celles commandées par des indépendants arrivent aux conclusions qu’il s’agit d’un produit très dangereux et hautement toxique. Par contre, toutes les études commandées par des institutions du gouvernement mondial comme la Maison-Blanche, l’ONU ou la Communauté Européenne, ont découvert que l’aspartame était inoffensif!!!

C’est drôle car c’est exactement la même chose pour les téléphones portables! Toutes les études indépendantes prouvent leur haute toxicité. Rapidement, l’aspartamefut donc remis sur le marché à cause du lobbisme de leurs “propriétaires”.Pearle et Monsanto sont propriétaires de l’aspartame et tous les deux fournisseursd’armes chimiques. Tout ceci est pratiquement du domaine public. Le scoop, c’est cequi va suivre…

À la base, l’aspartame a été découverte en tentant de créer une arme chimique pour enlever la volonté chez l’ennemi “extérieur” c. à d. les autres pays. Le problème,c’est que très vite, ils ont réalisé qu’enlever la volonté chez leurs ennemis faisaitque le niveau de Conscience de leurs soldats diminuait et que pour finir, ils sebattaient encore mieux. C’est alors qu’ils ont eu l’idée d’utiliser cette arme chez eux, chez les Américains, afin d’en faire des bons petits soldats. J’ai personnellement étudié depuis un an les choix de vie que faisaient les personnes qui ingurgitaient quasi-tous les jours des produits “light”. Je peux vous affirmer que les résultats de ce petit test sont édifiants. 95% des personnes que j’ai étudiées qui ingurgitent de l’aspartame presque tous les jours sont des collabos passifs ou actifs de cette logique qui met en péril l’avenir de nos enfants!

Encore un petit mot. L’enseignant Indien Osho a toujours prétendu que les Américains l’avaient empoisonné lors de son séjour aux Etats-Unis. Il était diabétique et justement, il était complètement accro… au Coca Light! Sachez une fois pour toutes que, comme je vous l’explique en détail dans le chapitre sur l’alimentation et la spiritualité, qu’il n’y a rien de plus mauvais pour les diabétiques que le sucre, et que l’aspartame sur une longue période peut tout simplement s’avérer mortel. Quand je pense qu’une grande partie des médecins collabos continuent de conseiller aux diabétiques de manger du sucre, ça me fait vomir!

Comment notre corps se nourrit-il?

Si tu veux faire un bond dans ton évolution, apprend comment le sucre nourrit ton corps! Le glucose est essentiel pour nourrir toutes nos cellules. Une grande partie de nos aliments se transforment en glucose dans notre sang. Il est véhiculé par le sang qui le transporte vers les différentes cellules et surtout vers le cerveau. On appelle souvent le glucose, le sucre du sang. Le glucose est tellement important pour le cerveau que, si celui-ci est privé de glucose ne fut-ce que quelques instants, il arrête de fonctionner. Si cela dure, le cerveau peut subir des dommages irrémédiables. Si cela continue, on tombe dans le coma et puis on meurt! Tout cela pour dire à quel point le glucose est important. Le taux de glucose dans le sang doit être constant, c’est-à-dire 1g par litre. Ainsi, notre organisme possède un système très efficace de régulation. La vitesse avec laquelle le sucre des aliments est transformé en glucose est très importante. “Seule une transformation lente des aliments en glucose accompagnée de l’absorption de nombreux autres éléments est sans danger pour notre corps.” Le mal du sucre – Danièle Starenkyj - Edition Orion.

Les sucres que l’on trouve dans des aliments comme les céréales, les fruits et les légumes sont transformés lentement en glucose. Les sucres que l’on trouve notamment dans l’alcool, les sucres blancs et les farines blanches sont trop rapidement transformés en glucose dans le sang. La raison en est simple. On a enlevé certaines fibres et certains éléments essentiels. Dès lors, selon William Dufty, “le sucre ajouté n’est pas digéré dans la bouche ou dans l’estomac mais passe directement dans les intestins et de là dans le sang”.

Un problème supplémentaire est causé par ce que l’on appelle les sucres ajoutés. Je fais référence à la saccharose (sucre blanc et sucre de canne) ainsi qu’à tous les remplaçants de ces sucres dont nous parlerons plus tard. Ces sucres ajoutés apportent trop de sucres (glucose) au corps. Si le taux de glucose dans le sang est trop haut, le cerveau envoie un signal, à travers l’hypophyse, afin que le pancréas secrète de l’insuline qui va enlever le glucose du sang et le stocker dans le foie ou dans les muscles. Si ce dernier reste longtemps dans les tissus, il sera plus tard transformé en graisse. Si le taux de glucose dans le sang est trop bas, le cerveau envoie un signal à travers l’hypophyse, afin que les glandes surrénales secrètent de l’adrénaline qui va libérer le glucose stocké dans le foie. Si cela n’est pas suffisant, il va libérer une partie du glucose qui est dans les muscles.

Je vous conseille de relire et de répéter à haute voix le paragraphe ci-dessus jusqu’à ce que vous puissiez l’expliquer à n’importe qui avec vos propres mots. Ainsi, vous pourrez aider beaucoup de personnes. Ces lignes seront la base scientifique de tout ce chapitre.

Je résume car c’est giga important.

Les sucres ajoutés ou ceux qui proviennent d’aliments raffinés (blé, riz, céréales, etc.) créent deux gros problèmes à l’organisme.

1 > Ils se déversent trop rapidement dans le sang (produits raffinés)

2 > Ils donnent trop de glucose à l’organisme (sucres ajoutés).

Lorsqu’on mange par exemple deux cuillères à café de confiture faite avec du sucre blanc, notre cerveau déclenche la sonnette d’alarme car il reçoit rapidement une quantité de glucose qui est néfaste pour lui ainsi que pour toutes les cellules du corps. Il va demander au pancréas de secréter de l’insuline qui va enlever le glucose du sang et le stocker dans le foie ou dans les muscles. Comme ce sucre ajouté s’est déversé rapidement dans le sang, deux heures après, le corps va se retrouver en manque de sucre. Ce ne serait pas le cas si on avait mangé des sucres lents qui se seraient déversés lentement dans le sang.

Le bon réflexe serait alors de manger un fruit, ce qui nous retaperait. Seulement beaucoup de gens vont remanger du sucre ajouté (ou raffiné), ce qui va donner un coup de fouet momentané et provoquer une rechute énergétique quelques heures plus tard. On crée alors un cercle vicieux. De plus, lorsqu’on n’a plus assez de glucose dans le sang, le cerveau va donner l’ordre d’envoyer de l’adrénaline qui va libérer le glucose stocké dans le foie. Vu que la majorité des gens mangent des produits raffinés et des sucres ajoutés, leur cerveau va passer sa journée à envoyer, tantôt de l’adrénaline pour augmenter le taux de glucose dans le sang et tantôt de l’insuline, afin de faire baisser ce même taux de glucose. Nous passons alors par des stades d’hypoglycémie et de diabète.

Le diabète, c’est lorsqu’il y a trop peu d’insuline dans le sang.

L’hypoglycémie, c’est lorsqu’il n’y a pas assez de glucose dans le sang.

Nous en arrivons au plus important, car tout ceci concerne notre bien-être, notre équilibre émotionnel et notre santé mentale. Comprenez bien que le glucose est la nourriture exclusive de notre cerveau. Chacun de nos sentiments dépend directement du taux de glucose dans le sang. Ainsi un être qui manque de glucose ou qui a trop de glucose dans le sang peut avoir des comportements qui peuvent commencer par la déprime, passer par la mauvaise humeur, aboutir à la haine et à des crises où l’être n’a plus vraiment le contrôle de ce qu’il fait. Vécus de l’intérieur, cela peut paraître comme des moments de folie pure. Déprime et euphorie dans la même journée sont habituelles chez les déséquilibrés en glucose. Ainsi, l’effet bombe de ce que je vous raconte ne réside pas dans le fait que les sucres ajoutés et/ou blancs sont très nocifs pour la santé. Cela on le savait depuis longtemps. Le fait que tant de médecins nient ce processus est souvent dû à leur propre dépendance à ces substances.

Le scoop réside dans le fait que le sucre influence de manière négative notre bien-être, fausse notre système de perception, bref qu’il s’agit d’une drogue aux effets très pervers, notamment car on ne se rend pas compte qu’il s’agit d’une drogue.

Selon Starenkyj: “L’histoire de la folie est en train de s’écrire, étrangement parallèle à celle du sucre”. Elle cite Dufty William: “Aujourd’hui, les pionniers de la psychiatrie ortho-moléculaire, tels que les docteurs A Hoffer, Allan Cott, A Cheraskin et Linus Pauling ont confirmé que la maladie mentale est un mythe et que les désordres émotifs peuvent tout simplement n’être que les premiers symptômes de l’incapacité évidente

du système humain à supporter le stress de la dépendance du sucre”. Dufty William - Le sucre, cet ami qui vous veut du mal - Edition Guy Trédaniel

Je vous recommande ce livre dont le titre original anglais est “Sugar blues”. Il nous raconte l’histoire du sucre qui est tout à fait hallucinante et passionnante. Il se lit comme un vrai roman. Le livre de Starenkyj “Le mal du sucre” est fabuleux pour ceux qui veulent avoir des arguments médicaux sur la question.

2- LE BLE

Le blé et surtout le blé blanc et industriel rend agressif et bloque la Conscience dans le cerveau gauche, celui du matérialisme, des peurs, et de la facilité. Ce principe est aussi valable pour tous les produits raffinés.

Petite info inédite lu dans La Lettre Touch Of Bio n°6, “Le blé aide le transit intestinal, mais il peut être irritant car il contient de l’acide phytique. C’est toujours à cause de la présence d’acide phytique qu’il faut manger le pain complet fermenté au levain et non pas à la levure, car seul le levain contient des phytases capables de dégrader l’acide phytique. En effet, l’acide phytique inhibe l’abosorption de divers sels minéraux. Le levain est donc indispensable lorsque l’on mange du pain complet, du moins, si on ne veut pas subir un effet de déminéralisation.”

3- LES PRODUITS LAITIERS

Ils sont une source d’épuisement du système immunitaire et facilite l’ostéoporose. Ils nous ramènent à l’état d’enfant au niveau de la dépendance affective et émotionnelle. Le lait est fait pour les enfants et encore, le lait des animaux n’est pas vraiment assimilable pour les organismes humains. Après l’âge de 5-7 ans, notre corps arrête de fabriquer l’enzyme (la lactase) qui est nécessaire à la métabolisation de la lactose qui est le sucre qu’on retrouve dans le lait. Même si le lait de chèvre s’assimile un peu mieux, le principe reste le même. De plus, les produits laitiers empêchent d’atteindre certaines fréquences et nous empêchent de recevoir des messages de notre “Soi Divin” de manière optimum. Dans l’Âge d’Or vers lequel nous nous dirigeons, l’idée est de vivre en Paix avec la nature. Les animaux ont été mis en “baby sitting” sous la bienveillance des humaines, et regardez comment nous les traitons! Nous sommes arrivés à créer un véritable enfer pour les animaux sur Terre Gaïa. L’Âge d’Or reposera sur une Règle d’Or évidente: “Ne pas faire à autrui” ce que tu ne voudrait pas qu’on te fasse!” Aimeriez-vous qu’on traie les femmes de cette planète et qu’on les enferment dans des enclos, aussi grand soient-ils?? Encore une fois, je vous détails ce sujet dans “A la recherche du message des dauphins”, dans le chapitre “Mangez nature”.

4- LE SOJA NON FERMENTE.

Il sera l'un des plus grands scandales à venir! La sauce soja (soyu/tamari), le tempeh et le miso sont du soja fermenté, donc pas de problème. En fait, le soja contient un poison pour tout simplement exterminer lentement les espèces qui en mangent, notamment en déréglant profondément les systèmes hormonal, sexuels et immunitaires...La fermentation rend ce poison inoffensif. Par contre, le tofu, le soja cru et le lait de soja sont des vrais poisons. Sachez qu'ils enlèvent la volonté, dérèglent profondément le système hormonal, désancrent les personnes, fatiguent le système immunitaire. Vous rencontrerez beaucoup d'intégristes nouvel âge qui mangent du soja ou du tofu presque tous les jours qui sont complètement déconnectés de la réalité. C'est du genre: "Tout est super et si les enfants meurent de faim, c'est que c'est bon pour leur karma!". D'ailleurs, derrière le grand business du soja, on retrouve notre ami Georges B. et des firmes comme Monsanto et Pepsi-Cola, bref tous les amis qui se soucient tellement de notre épanouissement, de notre santé et de celle de nos enfants.

Croyez-moi sur parole au moins sur un point: pitié, pas de lait de soja aux enfants! Sachez aussi que les protéines du soja ne sont pas assimilables pour notre organisme et que le fait de manger du soja soit bon pour les femmes qui ont la ménopause est complètement faux!

La “Food and Drug Administration” (sorte de ministère de l’alimentation et des médicaments aux USA) n’a jamais accepté de donner au soja la mention “GRAS” (Generally Recognized As Safe) (en français: généralement reconnu comme sans danger). Le très sérieux magazine médical britannique “The Lancet” a fait état en 1997 d’une étude qui prouverait que le seul fait de boire deux verres de lait de soja par jour était suffisant pour perturber les cycles menstruels des femmes. De plus, cette même étude prouverait que, chez les enfants testés avec ces deux mêmes verres de lait de soja, la concentration d’isoflavones serait de 13.000 à 22.000 fois plus importante que la concentration normale d’oestrogènes. Les isoflavones peuvent empêcher l’ovulation, favoriser l’apparition de cellules cancéreuses et l’hyper-thyroïdisme dont les premiers symptômes peuvent être la léthargie,la constipation, la prise de poids et la fatigue.

Selon le Dr Mary G. Enig (Présidente de l’association des nutritionnistes du Maryland) “un bébé nourri avec du lait maternisé à base de soja reçoit l’équivalent en phyto-oestrogènes de ce que l’on recevrait si on ingurgitait 5 pilules contraceptives par jour! Cela entraîne une puberté précoce chez les filles et une maturation sexuelle retardée chez les garçons”. Certains moines Bouddhistes mangent du tofu pour faire baisser leur libido. Les autorités suisses de la santé recommandent un usage très limité du soja pour les bébés.

En Angleterre et en Australie, les agences publiques pour la santé demandent aux parents d’avoir l’avis d’un médecin avant de donner du soja à leurs enfants. Enfin, le ministère de la santé de la Nouvelle Zélande avertit que: “Les produits au soja ne devraient être utilisés que sous la supervision d’un professionnel de la santé … Les cliniciens qui traitent les enfants avec des produits à base de soja pour des raisons médicales devraient être conscients du potentiel d’interaction entre les produits pour enfants à base de soja et le fonctionnement de la thyroïde.”

Le fait que le soja soit une bonne source de protéines est tout simplement faux car il contient des inhibiteurs de trypsine qui entravent la bonne digestion des protéines et fatiguent le pancréas. De toute façon, mettons une fois pour toute quelque chose au clair par rapport à la rengaine “si tu ne manges pas de viande, ni de poisson, ni d’oeufs, ni de produits laitiers, ou vas-tu trouver tes protéines?” La réponse est simple. Il y a des protéines presque partout. Regardez sur vos paquets de céréales complètes et vous comprendrez vite de quoi je veux parler. Cette histoire de protéines est un mythe!

Les conséquences les plus impressionnantes de manger du soja non-fermenté touchent le cerveau. Il semble que les personnes mangeant, ne fût-ce que deux fois par semaine, une portion normale de tofu ont un rétrécissement accéléré de leur cerveau accompagné d’une diminution des fonctions cognitives. En clair, leur cerveau fonctionne moins bien. Les mangeurs de tofu et de soja cru font moins bien les liens entre les choses. Déjà en 1986, des études auraient prouvé que l’ingestion de soja peut mener à des sérieux problèmes neurologiques et entraîner des sérieux problèmes émotionnels allant de la mauvaise humeur jusqu’à la dépression chronique ou permanente.

Et pour terminer, sachez que les cultures massives de soja dans le monde ont des effets catastrophiques sur les paysans des pays du tiers monde.Ces derniers sont soumis à des régimes de rendements inhumains et les éventuels bénéfices que pourrait leur apporter le traitement du soja leur échappent car il est pris en main par les multinationales.

"On donnait du soja aux pilotes de bombardier, afin d’être sûr qu’ils soient bien insensibles, désancrés de la réalité.” Tiré des mémoires de Schmidt. Alimentations Dynamiques. Ed. Tryades.

5- L'ALCOOL

Si l’on boit ne fût-ce qu’une gorgée de vin par jour, on est alcoolique. Se “bourrer la gueule” de temps en temps cause beaucoup moins de problème au niveau du développement spirituel mais un petit peu tous les jours (comme le conseillent les médecins pour le coeur) empêche un liquide Divin d’être fabriqué par notre cerveau. L’alcool, c’est LA drogue qui empêche l’éveil et renforce l’égo, surtout les égos spirituels.


La bière, le whisky et la vodka sont faits à base de céréales qui sont raffinées la plupart du temps. Ils vont donc donner au corps des doses de glucides rapides. L’un des effets de ces alcools est donc comparable au fait d’avaler beaucoup de sucre. A ces effets, il est nécessaire de rajouter les conséquences d’introduire de l’alcool dans le sang.

Le café et l’alcool obligent notre corps à relâcher ses réserves de glucides qui se trouvent dans le foie. On demande à son foie quelque chose alors que c’est notrefoi qui pourrait nous demander quelque chose. Je mixe exprès les mots foi et foie,car en plus, l’organe du foie est l’organe qui correspond à la foi.Et quant à ceux qui me diront: “Oui mais le vin n’est pas fait à base de blé raffiné”,Je leur répondrai que c’est vrai. C’est pour cette raison qu’il s‘agit quand même d’unmoindre “mal”. Cependant, le vin contient de l’alcool qui agit quand même commenous l’avons décrit plus haut.

Par pitié pour l’humanité, faites-moi confiance quant à l’importance capitale de ce chapitre. Je dis cela car l’immense majorité des êtres, consciemment sur un parcours “spirituel”, estime que ce qui compte avant tout, c’est l’esprit avec lequel on mange et pas ce que l’on mange. Cela est vrai dans une certaine mesure et nous y reviendrons plus tard. D’autres me diront qu’il suffit de positiver, d’énergétiser la nourriture pour la transmuter, afin qu’elle soit plus adaptée à nos vrais besoins. Même si ce principe est vrai, cette transformation nécessite beaucoup d’énergie et une grande faculté de focalisation. Une énergie et une attention qu’on pourrait utiliser à autre chose comme aimer ou créer! De plus, il faut être déjà très puissant et très avancé pour vraiment transmuter un aliment de manière efficace. Si de grands “maîtres” sont effectivement capables de transformer la nourriture par la force de l’esprit, soyons humbles de reconnaître que ce n’est pas encore le cas pour la majorité d’entre nous. En fait, je n’ai jamais rencontré un être capable de le faire. Si tu estimes en faire partie, va manger tous les jours au Mac X et tu verras bien les limites de tes pouvoirs.

Le fait que manger tel ou tel aliment soit relativement bon ou relativement mauvais pour la santé n’est pas un secret. Par contre, ce qui pourrait être une exclusivité pour certains, c’est que la manière dont on se nourrit influence directement notre bien être et notre équilibre émotionnel.

6- LE CAFE ET LE THE

Si notre ami prend du sucre dans son café, cela va lui faire l’effet que l’on connaît. Ce sucre va se déverser rapidement dans le sang et lui procurer son punch d’énergie. Mais en plus, la caféine (ou la théine dans une moindre mesure) va exciter les glandes surrénales qui vont produire de l’adrénaline qui va relâcher le glucose qui était stocké dans le foie. Il va donc y avoir un véritable shoot de glucose dans le sang. J’ai personnellement testé l’effet du café avec du sucre. C’est fou l’effet d’euphorie dans lequel cela peut vous mettre. Cependant dans notre corps, je peux vous dire que ce n’est pas l’euphorie du tout. L’alerte générale va être déclenchée! L’ordre de produire de l’insuline en grande quantité va être donné, afin de baisser le niveau de glucose dans le sang. Il va s’ensuivre un véritable choc insulinique qui va mener la personne à être en hypoglycémie. Cela peut donner des symptômes comme la fatigue, l’angoisse, les sueurs froides, la mauvaise humeur, le coeur qui bat plus vite, etc.

La nature est bien faite. Le café comme le cacao ont, dans leur état naturel, un goût infâme. Le fait de les chauffer en change le goût. Le café et le cacao sont des médicaments à utiliser dans des cas exceptionnels. Ce qui est giga nocif dans tous les chocolats, ce sont les sucres ajoutés qui s’y trouvent. Dans la majorité des cas, on yretrouve 50 % de sucre. Sachez quand même que le cacao est, entre autres, unaphrodisiaque puissant. Selon Steiner, le café agit sur le corps astral. Grâce à lacaféine, les effets du café font que notre système nerveux exécute de lui-même certainesactivités qui, sans cela, nous obligeraient à faire appel à une force intérieure.Le café, utilisé quotidiennement, nous met trop à la merci des forces de l’astral.

Cependant, comme toute chose, on peut ne pas diaboliser le café. Dans certaines circonstances, il peut nous aider comme n’importe quel médicament. Le café va en fait nous donner un grand pouvoir de concentration. Ceci peut être intéressant dans un moment bien précis. Seulement, celui qui en fait une habitude va être en permanence concentré dans la même direction et cela l’empêchera de se remettre en question. Et comme la remise en question et les changements de direction de la pensée sont des qualités essentielles du parcours “spirituel”, boire du café d’une manière habituelle freine le développement vers notre divinité. Comme nous l’avons déjà vu, il est important de se remettre en question car il y a toujours moyen d’évoluer, d’aller plus haut.

De plus, utilisée de manière exceptionnelle, la caféine ouvre le troisième oeil. Utilisée de manière habituelle, la caféine ferme ce même troisième oeil.Comme cet oeil magique est en train de se développer, boire du café quotidiennement bloque le développement de cet outil qui permet, entre autres, de voir la vie en dehors de la dualité. Quant au thé, on peut dire qu’il produit l’effet inverse sur la psyché humaine. Comme le dit très bien Steiner, “les pensées se dispersent dans tous les sens et s’éclairent…. Ce n’est pas par hasard qu’il s’agit de la boisson préférée des diplomates.” Il s’agit aussi d’un médicament à utiliser à titre exceptionnel. Si on en boit régulièrement, notre mental a tendance à partir dans toute les directions, sans en approfondir une en particulier.

7- LE SEL AJOUTE

Nous avons besoin de sel. Seulement, encore une fois, on en trouve dans de nombreux aliments en quantité largement suffisante. De plus, notre corps est incapable de métaboliser les minéraux à leur état brut. Le sel ajouté qu’on ingurgite doit donc être éliminé et ne nous sert absolument à rien, si ce n’est à fatiguer notre système immunitaire et notre coeur. En effet, il rend notre sang plus dense, ce qui oblige notre coeur à battre plus vite. Ceci donne entre autres comme résultats, des effets opposés à ceux qu’on recherche par la méditation. En fait, il est impossible de manquer de sel, si on mange régulièrement des fruits et des légumes. Attention lorsqu’on mange des plats tout préparés ou des boites qui contiennent en général du sel et du sucre. Energétiquement parlant, le sel active notre pensée. Cependant, si nous en prenons trop, ce qui est le cas pour l’immense majorité des Occidentaux, il nous enferme dans notre tête et nous pensons alors tout le temps à notre passé, à notre futur ou à des présents imaginaires. On est enfermé dans sa tête. On se fait des films sur l’écran de sa conscience. Cet écran nous empêche de voir la réalité avec conscience. Cela nous emmène loin de l’ici et du Mains Tenants. Et c’est dans l’ici et Maints Tenants que le Divin nous tend la main. Enfermés dans notre tête, nous pouvons être pétrifiés par notre regard sur le passé comme le fut la femme de Loth.

“Le sel est le contraire du soufre. Nous savons que le sel conserve les aliments. Lorsque la propriété saline domine dans un corps, elle empêche donc la tendance expansive de se manifester, de créer de nouveaux mondes… L’inhibition, la cristallisation saline, tel est l’ennemi à combattre. Rappelons-nous ce qui arriva à la malheureuse femme de Loth quand, à la sortie de Sodome en flammes, elle se retourna nostalgiquement pour contempler la catastrophe, et se transforma en statue de sel; autrement dit sa vie tomba prisonnière de la propriété saline qui empêche la sortie de la lumière et le renouvellement de ce qui existe”. Initiation à la Kabbale – Haziel- Ed Bussière ISBN 285090 183 0

Le sel de cuisine constitue un fléau méconnu. D’innombrables études médicales ont montré qu’il joue un rôle primordial dans l’hypertension artérielle, qui provoque chaque année le décès de centaines de milliers d’humains. Plus nous mangeons de sel, plus la présence de celui-ci dans notre système circulatoire retient de l’eau et demande du travail à notre coeur pour faire circuler ce volume de liquide… Pour beaucoup de gens, le sel, comme le sucre, est devenu une véritable drogue. Il leur procure un coup de fouet passager qui est suivi, après une ou deux heures, d’un état de fatigue et de dépression psychique entraînant souvent une nouvelle prise de sel ou d‘un autre excitant pour retrouver sa forme. Regardez autour de vous et vous verrez que les personnes qui ne peuvent pas passer plus de deux heures sans consommer du sel ou du sucre sont légion. Elles regardent avec effroi les ravages de la toxicomanie chez ceux qui consomment des drogues illégales sans se douter qu’elles sont devenues ellesmêmes des toxicomanes de l’alimentation industrielle. L’alimentation plaisir - Dr Christian Tal Schaller - Ed Vivez Soleil

8- LES POMMES DE TERRE

Franchement avez-vous déjà remarqué que les personnes qui mangent trop de pommes de terre ont quelque chose en commun? Je ne parle pas de ceux qui enmangent de temps en temps, je fais référence à ceux qui en mangent trop, à ceuxqui en mangent quasi tous les jours. On est ce que l’on mange. Si l’on mange souventdes fruits, on se met à ressembler à un fruit. Logique! Si l’on mange souventdes pommes de terre, on se met à ressembler… à une patate. Logique! Je reconnaisque c’est un peu simpliste comme raisonnement, seulement je n’ai pas voulu mepriver de cette petite légèreté qui me fait rire chaque fois que je la relis.Franchement parlé, j’ai expérimenté des régimes sans pomme de terre et desrégimes avec beaucoup de pommes de terre tous les jours. Je peux vous dire que ladifférence est flagrante. Trop de pommes de terre nous rend lourds, non créatifs,matérialistes et stupides. La pomme de terre ne fut elle pas la base de l’alimentationdes soldats? Ainsi, j’ai été émerveillé d’en trouver une raison spirituelle, encoreune fois chez mon ami Rudolf Steiner.. “Quand l’homme complète son régime par des pommes de terre en quantité mesurée, il ne fait pas de doute que celles-ci sont bénéfiques… Mais la pomme de terre contient énormément d’amidon, lequel doit absolument se transformer en sucre chez l’homme…Je vous l’ai déjà dit: quand l’homme mange trop de pommes de terre, sa tête doit faire obstacle à la fermentation. Voilà pourquoi les hommes qui mangent trop de pommes de terre et qui, de ce fait, imposent à leur tête une tâche écrasante pour maîtriser la fermentation de la pomme de terre, deviennent faibles d’esprit. S’affaiblissent notamment les parties centrales du cerveau, il ne reste que les parties antérieures du cerveau qui se donnent peu de mal pour s’opposer à la fermentation de la pomme de terre. Et c’est précisément parce que la consommation de la pomme de terre a pris dans les temps modernes une extension considérable qu’est apparu le matérialisme, qui est un produit du cerveau antérieur”. Rudolf Steiner - Alimentation et développement spirituelEditions Anthroposophiques romandes

9- LA NICOTINE

La nicotine est un aliment vu qu’on l’ingurgite. Elle crée des dysharmonies dans nos corps énergétiques qui rendent une grande partie du travail Alchimique Divin impossible. Ceci est aussi valable pour le tabagisme passif. En outre, notre corps réagit à l’agression de la nicotine qui est un poison, comme à une agression physique. Il produit de l’adrénaline qui va libérer les réserves de glucose qui se trouve dans le foie et dans les muscles. Cela procure un effet agréable mais de courte durée car une fois les réserves épuisées, c’est le manque… Tremblements, sueurs froides, angoisse,déprime ou colère. Ce qui amène souvent à l’envie de refumer, de boire du café, de manger du sucre et de boire de l’alcool. Et c’est la spirale infernale. que l’on peut arrêter en mangeant des fruits. De plus, la nicotine casse les petites montées de kundalini qui sont en train de faire rentrer le principe féminin dans nos corps.

“Chaque cigarette diminue l’espérance de vie de cinq minutes. En fait, l’une des raisons principales pour lesquelles les gens fument est qu’ils souffrent de carence cérébrale en oxygène. Leur tension psychique et l’abus d’aliments trop riches entraînent une diminution de la respiration et un trop faible apport d’oxygène aux cellules cérébrales. Or, la nicotine est un puissant stimulant de la respiration. Après quelques bouffées de cigarettes, on respire mieux et le cerveau retrouve pour un instant ses fonctions normales. Malheureusement, la cigarette provoque aussi une forte baisse de la vitamine C dans le corps, ce qui crée un état de fatigue et de diminution de la respiration qui pousse le fumeur à augmenter sans cesse sa consommation de nicotine. On retrouve le même drame qu’avec l’alcool, le sel ou le sucre raffiné. Plus on consomme de ces substances, plus elles créent des carences qui nous poussent à les utiliser davantage avec des conséquences de plus en plus marquées sur notre bien être et sur notre santé. Trop souvent, les gens qui s’arrêtent brutalement de fumer sans suivre une stratégie d’amélioration de leur état général troquent une toxicomanie contre une autre. Ils deviennent boulimiques, obèses ou alcooliques et leur problème fondamental, qui est la dépendance n’est pas résolu. Ils ont simplement changé le nom du produit dont ils sont toxicomanes!”L’alimentation plaisir - Dr Christian Tal Schaller

10- LA NOURRITURE CRUE!

Oui il est aussi très important que je vous touche un mot sur la nourriture crue ! En effet, dans les évangiles apocryphes de la mer morte, les Esséniens insistent très fort sur le fait de se nourrir uniquement de nourriture qui provient de la “table des dieux”. Cela signifie de ne manger des aliments que dans leur état naturel, c. à d. crus, sans produits chimiques et sans sauce/sel/poivre pour en modifier le goût. Les aliments qui se trouvent sur la table des dieux, sont ceux que les “humains dieux” mangent pour arriver à avoir assez d’énergie vitale pour créer. Je vous parle en profondeur de la nourriture crue dans “A la recherche du message des dauphins” donc je ne vais pas m’étendre là-dessus. Sachez seulement qu’à la base, nos corps ont la formule chimique pour digérer, pour métaboliser tout ce qui se trouve dans la nature dans son état naturel et pas pour le reste. Dès qu’on chauffe un aliment à plus de 40°-45°est la température maximum de la vie, on tue la majorité des vitamines, et l’on rend inopérantes les enzymes qui servent à la digestion. Notre corps doit alors fabriquer lui-même ses enzymes ce qui le fatigue énormément car cela lui prend beaucoup d’énergie. Plus on cuit la nourriture, plus ce phénomène s’accentue. Ainsi, arrivé à un certain stade de cuisson, un repas uniquement cuit peut demander plus d’énergie à être digéré qu’il n’en apporte dans nos corps car la majorité de la nourriture doit être tout simplement éliminée car il s’agit d’un corps étranger, dont ils n’ont pas la recette chimique pour le métaboliser. Ce qui se passe avec les enzymes et les vitamines n’est pas la seule raison de cet état de choses. Le vrai défi pour nos corps, ce sont les molécules de Maillard. Maillard avait découvert que lorsqu’on chauffe une molécule à une température plus haute que la température de la vie (40°-45°), les molécules changent tout simplement de forme. On pourrait métaphorer cela comme une clef qui changent légèrement de profil. Certaines ont du mal à rentrer dans leurs petites “cases-serrures”, d’autres y arrivent mais risquent de se casser. Bref, les molécules de Maillard vont créer une sorte de réaction en chaîne de disharmonie dans tout le corps.

Manger cru est donc le top des tops! Si vous êtes malade, mangez cru pendant un jour ou deux et vous verrez que vous irez rapidement mieux. Mais attention! Après plus ou moins 3 jours de cru, votre corps va tellement aimer cela, qu’il va commencer par remplacer toutes les molécules de votre corps. Cela s’appelle une période de détoxination. Cela peut être extrêmement fatiguant donc, évitez d’aller jusqu’à la détoxination à moins de vouloir passer au cru. Ne vous lancez pas dans une détoxination si vous êtes dans une période fatiguée de votre vie. Il est largement préférable de manger cru que de faire des grands jeûnes. En tout cas si vous voulez vous lancer dans le processus d’arrêter de manger des matières solides, je vous conseille vivement de passer par l’étape du cru. Si vous voulez en savoir plus, rendez-vous dans “A la recherche du message des dauphins”.

“Peut-être ne faudrait-il justement pas manger les aliments qui ne sont pas mangeables sans cuisson!” Gandhi.

Si un aliment sent et goûte bon, c’est qu’il est juste de le manger. Ceci est la base de l’instinctothérapie dont je vous parle abondamment dans le livre des dauphins. La nature est bien faîte. Elle nous protège de ce qui n’est pas assimilable au mieux par notre organisme. Le problème lorsqu’on chauffe les molécules, c’est qu’elles changent de goût et trahissent alors nos gardes du corps que sont le goût et les odeurs.

“Ainsi, l’homme s’est complètement éloigné de la nature. En effet, aucun animal sauvage ne boit, à l’âge adulte, le lait d’un autre animal, ne mange de céréales grillées n’absorbe d’aliments cuits.” Tiré du livre très précieux pour les médecins ou personnes qui veulent avoir des arguments scientifiques. Dr. Jean Seignalet. L’Alimentation ou la Troisième Médecine. Editions FX De Guibert.

11- ETRE VEGETARIEN.
      UN CHOIX DIÉTÉTIQUE, MORAL, MAIS SURTOUT POLITIQUE ET SOCIAL .

“Rien ne sera plus bénéfique pour la santé et n’augmentera plus les chances de survie sur la Terre que l’évolution vers un régime végétarien.» Albert Einstein.

“Les dieux ont créé certains genres d’êtres pour faire resplendir nos corps... ce sont les arbres, les plantes et les graines.” Platon.

“Tous les êtres tremblent avant de devoir affronter la violence. Ils ont tous peur de la mort. Ils aiment tous la vie. Mettez-vous à la place des autres! Si vous y arrivez, vous ne serez plus capable de faire du mal à autrui.» Bouddha.

“Les plus hauts royaumes de la pensée sont impossibles à atteindre sans d’abord arriver à un certain niveau de compassion.” Socrate.

“Tant qu’il y aura des abattoirs, il y aura des champs de bataille. Le régime végétarien est une épreuve concluante d’humanitarisme.” Léon Tolstoï.

A/ Introduction.

Je reconnais que les dauphins mangent du poisson. Je pourrais encore m’en sortir en disant que les cétacés ne se mangent pas entre eux, mais ce serait faux. En effet, les orques mangent des baleines. Je retomberai donc sur mes pattes de la manière suivante: nous avons le potentiel de nous élever plus haut que les dauphins… De plus, le message principal des dauphins, c’est la liberté. Pour être libre, il est nécessaire d’avoir certaines connaissances. Alors, voici quelques informations sur les conséquences de l’acte de manger de la viande.
Commençons par nous débarrasser de quelques “vieilles idées bateau” complètement dépassées qui sont entretenues par “le lobby des carnivores”. À savoir…

1. Les humains sont des carnivores…
2. Nous avons besoin de manger de la viande pour acquérir de la force physique…
3. Les régimes végétariens ne sont pas assez nourrissants…


1. Les humains sont des carnivores…

Saviez-vous que les ancêtres des humains étaient végétariens ?
De récentes découvertes d’excréments, provenant de fossiles humains datant d’avant l’ère glaciaire (coprolithes), démontrent que nos ancêtres étaient bel et bien végétariens. La raréfaction des légumes et des fruits due au froid les a, petit à petit, obligés à manger de la chair animale.
Le Docteur G. S. Huntingen de l’université de Colombia a prouvé par ses travaux d’anatomie comparée que le corps n’est pas adapté à la consommation de viande. Le principe est archi-simple à comprendre. Les animaux carnivores possèdent un gros intestin et un intestin grêle relativement courts. Par contre, les animaux végétariens et les humains ont un gros intestin et un intestin grêle beaucoup plus longs. Il mesure un peu plus de 8 mètres de long.
Cela s’explique par le fait que comme la viande est pauvre en fibres et en substances nutritives diverses, tous ses éléments sont rapidement absorbés. Il n’est donc pas nécessaire qu’ils fassent un long parcours, donc un long séjour dans les intestins. Les complications surviennent lorsqu’un être doté d’intestins relativement longs ingurgite de la viande. Je fais bien sûr ici allusion à nous, les humains. La viande reste longtemps dans les intestins et pour peu qu’on ne l’élimine pas d’une manière optimale, elle se putréfie et peut ainsi produire des toxines. Ces toxines fatiguent le foie, ce qui facilite les cirrhoses et les cancers du foie. Ces mêmes toxines peuvent aussi jouer un rôle important dans le cancer du colon.


2. Nous avons besoin de manger de la viande pour acquérir de la force physique…

Le professeur Irving Fisher de l’université de Yale nous démontre le contraire grâce à l’expérience suivante: il demanda à 32 végétariens et à 15 mangeurs de viande de tendre les bras le plus longtemps possible. Sur les 15 carnivores, seulement 2 d’entre eux restèrent les bras tendus plus de 15 minutes. Sur les 32 végétariens, 22 d’entre eux dépassèrent le cap des 15 minutes, 15 tinrent plus longtemps que 30 minutes, 9 plus d’une heure, 4 plus de deux heures, et l’un passa le cap des 3 heures… No Comment…

3. Les régimes végétariens ne sont pas assez nourrissants…

“En mars 1988, l’Association américaine de diététique déclara: "Notre point de vue est que les régimes végétariens sont sains et suffisamment nutritifs s’ils sont bien équilibrés". (…)
Le professeur Miller, chirurgien américain établi à Formose depuis quarante ans, a fondé un hôpital dans lequel on ne sert que des repas végétariens, aussi bien aux membres du personnel qu’aux patients. Il dit: "La souris est un animal qui peut vivre d’une alimentation végétarienne ou non-végétarienne. Si l’on sépare deux souris, et que l’on donne à l’une de la viande, on constate une croissance et un développement similaire, mais la souris végétarienne vit plus longtemps et résiste mieux à la maladie. D’autre part, quand les deux souris tombent malades, la souris végétarienne vit plus longtemps et résiste mieux à la maladie. D’autre part, quand les deux souris tombent malades, la souris végétarienne se rétablit plus rapidement." Puis il ajoute: "La médecine que nous apporte la science moderne s’est considérablement améliorée, mais elle ne peut soigner que les maladies. L’alimentation, en revanche, peut nous maintenir en bonne santé. (…) Pour ce qui en est des protéines, (…) l’Organisation Mondiale de la Santé recommande un apport en protéines représentant 4,5% des calories journalières. Dans le blé, 17% des calories viennent des protéines, 45% dans le brocolis et 8% dans le riz. Avoir une alimentation riche en protéines sans manger de la viande est très simple. Par ailleurs, on évite toutes les maladies causées par une alimentation trop riche en graisses (maladie de coeur, cancers…). Le végétarisme est vraiment un choix supérieur.”
«La Clé de l’Illumination Immédiate», Maître Suprême Suma Ching Hai.

Ce qui suit n’est pas évident à comprendre. Je le partage cependant avec vous car j’en ai envie. Si ça vous ennuie, n’y prêtez pas trop d’attention. Cela mûrira en vous et ressortira au moment opportun.
“(…) Il faut veiller avec le plus grand soin à n’apporter au corps ni trop, ni trop peu de protéines. Il faut à tout prix trouver la juste mesure en ce domaine. Car dans la digestion, les substances protéinées correspondent à ce qui se passe dans l’activité pensante quand s’élaborent des représentations. L’activité qui féconde la pensée, c’est la même que suscitent les protéines dans la partie inférieure de l’organisme. Que celles-ci soient apportées à l’homme en trop grande quantité et il se produit un surplus de ces forces qui, dans l’activité métabolique, inférieur, correspondent à ce qui, dans le pôle supérieur, produit les représentations. Mais l’homme doit de plus en plus devenir maître de ses représentations. Voilà pourquoi l’apport en matières protéinées doit rester dans certaines limites, faute de quoi l’homme succombe à une activité représentative dont précisément il faudrait qu’il se libère. C’est ce que Pythagore avait en tête lorsqu’il disait à ses disciples: gardez-vous des haricots !” Rudolf Steiner, «Alimentation et Santé», Éditions Anthroposophiques Romandes

B/ Conséquences.
Parcourons maintenant ensemble quelques-unes des conséquences du choix de manger de la viande.

I ) Les conséquences du choix de manger de la viande sur l’économie des pays du Tiers-Monde.

Le principe est simple. Notre demande sans cesse croissante en viande nous pousse à en importer des pays du Tiers-Monde.
Dans un premier temps, forts de nos devises, nous faisons augmenter le prix de la viande uniquement par la loi de l’offre et de la demande. Dans un deuxième temps, nous faisons augmenter le prix des céréales, car de moins en moins de paysans veulent les cultiver. Cela leur rapporte effectivement moins d’argent que l’élevage de nos steaks sur pattes. Les céréales augmentent encore car la demande de céréales pour nourrir le bétail augmente, ce qui va encore faire augmenter le prix de la viande, que même les gouvernements de ces pays préfèrent vendre aux pays "industrialisés" parce que cela fait rentrer des devises. Mais voici quelques chiffres qui parlent d’eux-mêmes.
“Depuis 1960, on a coupé et brûlé 25 pour cent de la forêt équatoriale afin de créer de la pâture pour le bétail. D’après une estimation, 100 grammes de hamburger, provenant du bétail de la forêt équatoriale, détruit 16,5 mètres de forêt. De plus, l’élevage est un des premiers responsables de la production des 3 gaz qui provoquent le réchauffement de la Terre; il est la cause première de la pollution des eaux, et le volume vertigineux de 8 624 litres d’eau est nécessaire pour obtenir 500 grammes de boeuf, alors que 100 litres d’eau suffisent pour produire une livre de tomates et environ 500 litres pour une livre de pain complet. Presque la moitié de la consommation d’eau des États-Unis est utilisée pour cultiver la nourriture à bestiaux. (…) Un demi hectare d’avoine apporterait huit fois plus de protéines et vingt cinq fois plus de calories, si cet avoine était destiné à l’homme plutôt qu’au bétail. Un demi hectare de brocolis apporte dix fois plus de protéines, de calories et de (…) que la même surface de terre destinée à la production de la viande. Il existe beaucoup de statistiques de ce genre. (…) Aux États-Unis, le bétail consomme 70% de la production totale de céréales. Si on nourrissait les hommes à la place
du bétail, plus personne n’aurait faim.”
«La Clé de l’Illumination Immédiate», Maître Suprême Suma Ching Hai.


II ) Les conséquences du choix de manger de la viande sur la protection de l’environnement.

Quand on cultive des céréales ou des plantes, on cultive aussi de l’oxygène et de l’énergie. En effet, par la photosynthèse, les plantes fabriquent de l’oxygène.
Plus de bétail = déforestation (pour faire de la place à l’élevage) = moins de plantes = moins d’oxygène = réchauffement de l’atmosphère = effet de serre = danger.
Plus de bétail = plus de monoxyde de carbone dû à leur digestion (les pets, et ceci n’est pas une blague) = réchauffement de l’atmosphère = effet de serre = danger.


III ) Les conséquences du choix de manger de la viande sur notre santé et notre bien-être.

a) La principale source de prana, c’est le soleil.
Les plantes l’emmagasinent, et en les mangeant, les êtres humains et les animaux se remplissent d’énergie vitale. Lorsque nous mangeons à notre tour des êtres du règne animal, nous absorbons du prana, mais de seconde génération. Le prana étant fondamental pour notre équilibre énergétique, nous nous nourrissons bien mieux avec du prana de première génération.

b) L’adrénaline des animaux qu’on ingurgite.
Manger de la viande agit directement sur notre système nerveux. Êtes-vous déjà allé dans un abattoir? Je trouve que l’on pourrait y emmener tous les groupes scolaires. Ça, ça serait de l’éducation! Les animaux font souvent la file plusieurs heures, à regarder leurs semblables se faire abattre un par un (souvent en leur enfonçant un clou dans la tête). Il arrive aussi que le bétail de gros gabarit soit sorti des camions à l’aide d’une grue, qui lâche ensuite les bêtes sur un tapis roulant, d’une hauteur suffisante pour qu’elles se cassent les pattes. La peur engendre chez tous les êtres vivants un surplus d’adrénaline.
Manger ces animaux tués de manière industrielle, c’est manger leur adrénaline, leur stress, et beaucoup de toxines. Psychologiquement, notre inconscient n’est pas dupe. Manger de la viande = tuer un animal du même règne que nous = faire la promotion de nos réflexes comportementaux de compétition. La compétition est un concept dépassé...
Personnellement, comme je ne veux pas vivre avec des principes, quand j’ai envie de manger de la viande, je le fais. La plupart du temps, je le regrette après. C’est fou à quel point cela me rend agressif. De plus, un bifteck met plusieurs jours à être complètement digéré. Être végétarien, c’est aussi goûter au plaisir de sentir son corps léger.
Il faut avoir été quelques semaines végétarien pour s’en rendre compte. Digérer "pompe" beaucoup d’énergie qu’on ne pourra pas utiliser pour autre chose. Chacun de vous a déjà expérimenté à quel point, après un grand repas, on a des difficultés à se remettre au travail, ou à faire de gros efforts intellectuels. Lorsqu’on mange de la viande tous les jours, on est en digestion permanente, donc une partie de notre oxygène et de notre énergie ne peut être utilisée par le reste de notre corps, ainsi que par notre cerveau. Attention aux cercles vicieux!
N’oubliez pas que le corps a des facultés magiques. Une de celles-ci est son pouvoir d’adaptation. Si vous changez vos habitudes, pour une nourriture équilibrée, votre corps et votre esprit s’habitueront très vite et vous diront merci de multiples manières.

c) La responsabilité inconsciente de souffrances inutiles.
Certains de mes amis me disent que lorsque je mange du poisson ou des fruits et légumes, je suis autant responsable de "souffrances inutiles" que lorsque je mange de la viande. Voici ma réponse: il existe une hiérarchie dans la souffrance en rapport direct avec le pourcentage d’eau dont est composé chaque aliment. Un animal souffre plus qu’un poisson car un animal est constitué de moins d’eau qu’un poisson. Un légume souffre moins qu’un poisson et ainsi de suite. Dans ce même ordre d’idée, je résonne aussi beaucoup avec nos semblables qui ne mangent que des fruits et des graines. Ils ne mangent pas de légumes car pour ce faire, il faut les "arracher" à la terre. Par contre, lorsque le fruit est mûr, il tombe tout seul dans votre main. Un ami qui s’occupe d’une ferme de permaculture en Australie pousse le résonnement encore plus loin. Il fait caca et pipi au pied de ses arbres fruitiers, et il prétend qu’ainsi il fait un cadeau à ses arbres. Ses arbres, en échange, "chient" (sorry mais je ne connais pas d’autre mot) des fruits dont la volonté est d’être mangés par notre chieur ! Nous reparlerons de la permaculture dans la troisième partie de ce livre.

C/ Conclusions Paradoxales.

Arguments importants pour soutenir ceux qui ont envie de continuer à manger de la viande !
Nous sommes tous à des stades d’évolution différents. Ce qui est bon pour monsieur X ne l’est pas forcément pour monsieur Y. Le plus important, c’est que vous fassiez ce que vous sentez au plus profond de votre âme. Dans ce qui suit, je fais une exception de taille à la structure de ce livre. Je vais partager avec vous l’un des éléments majeurs que nous allons développer abondamment dans la troisième partie de ce livre. Cet élément est le suivant : l’être humain passe par plusieurs stades d’évolution. À chacune de ces étapes, il a développé des parties de lui-même bien précises. Comme nous l’avons vu dans ce chapitre avec les protéines, il était important que nous développions en nous les représentations mentales.
Nous en avons toujours besoin, bien que nous ayons aujourd’hui tendance à en être prisonniers.
“Prenez l’exemple d’un homme qui s’est depuis peu converti au végétarisme. Chez ce végétarien de récente date, l’activité du pôle inférieur se déroule d’une manière bien précise. Certaines forces matérielles se transforment en forces spirituelles. Mais si elles restent inemployées, elles ont une action néfaste et peuvent même porter préjudice à l’activité cérébrale. Celui qui n’a d’autre occupation que celle de banquier par exemple, ou de stratège en chambre, peut ainsi se faire beaucoup de tort s’il ne forme en lui des représentations spirituelles au moyen des forces que son mode de vie végétarien lui permet d’épargner. Il faut donc que le végétarien passe en même temps à une vie spirituelle, sinon mieux vaut qu’il continue à manger de la viande; sa mémoire pourrait se détériorer, certaines parties de son cerveau être endommagées, etc… Il ne suffit pas de se nourrir de céréales pour voir s’ouvrir devant soi les sphères les plus élevées de la vie de l’esprit. (…) L’homme doit à une alimentation végétarienne de pouvoir élever son regard jusqu’aux grandes relations entre les choses, lesquelles le placent au-dessus des préjugés nés des limites étroites de son existence personnelle. Partout où l’homme part d’une vue d’ensemble pour ordonner librement et sereinement sa vie et son (mode de pensé N.D.A.), il doit cette vision globale au rapport alimentaire qu’il entretient avec le monde des plantes. Là où l’homme se laisse entraîner par la colère, l’antipathie, les jugements tout faits, il le doit à la nourriture qu’il prend dans le monde animal. Il n’est pourtant pas question ici de militer pour une nourriture végétarienne. Au contraire : la nourriture carnée était nécessaire à l’homme et l’est encore à bien des égards, parce que l’homme devait avoir les pieds solidement plantés sur terre, devait être ancré dans sa personnalité. Tout ce qui a conduit l’homme à cultiver ses intérêts personnels est lié à la nourriture carnée. S’il y a eu des hommes pour faire la guerre, pour avoir les uns vis-à-vis des autres de la sympathie et de l’antipathie, des passions sensuelles, la cause en est à l’alimentation carnée. Mais si l’homme ne s’est pas égaré dans les intérêts les plus mesquins, s’il est capable de concevoir des intérêts généraux, il en est redevable aux rapports qu’il entretient avec le monde des plantes quant à la nourriture.”
Rudolf Steiner, Alimentation et Santé, Éditions Anthroposophiques Romandes`

12- SE NOURRIR DE LUMIERE

La dictature des mondes de la finance qui est en train de s’installer sur terre Gaïa a pour objectif de renvoyer dans les champs tous les alternatifs, de réserver les villes à ceux qui vendent leur âme pour travailler pour ce système qui hypothèque l’avenir de nos enfants, et d’affamer tous ceux qui ne servent à rien à ce même système. Ainsi, on peut aisément comprendre que chaque situation a toujours des avantages. L’avantage de ce complot pour affamer les peuples, c’est d’attirer les peuples vers la voie de sa libération : ne se nourrir plus que de Lumière !

Conclusion :

Si vous avez bien lu, vous comprenez le fonctionnement du cercle vicieux sucres ajoutés, café, alcool, nicotine. L’un entraîne l’autre. Cela produit un cercle d’interdépendance infernale qui, je le répète, est l’une des causes les plus importantes de nombreuses maladies modernes.

L’idée n’est pas d’arrêter toutes ces substances d’un jour à l’autre. L’idée est de ne pas en être accro et donc de tendre vers le fait de ne pas en ingurgiter plus d’une fois par semaine. Seulement-mettez vous bien une chose en tête: votre vraie vie créatrice, affective, sexuelle et émotionnelle commencera vraiment à s’améliorer le jour où vous ne consommerez plus ces aliments à moins que ce ne soit à titre occasionnel du genre maximum une fois par semaine. Elle décollera encore plus, lorsque vous arrêterez complètement. J’insiste particulièrement sur l’alcool, le café, le thé, la nicotine, les produits laitiers et les sucres ajoutés. Si vous en consommez quasiment tous les jours, ne vous leurrez pas… Ce serait comme passer ses journées à construire une maison et ses nuits à la détruire.


L’exploration de votre vie Divine commencera vraiment, lorsque vous vous libérerez de ces chaînes! Seulement allez-y en douceur, le sevrage est quelque chose de violent pour le corps. Quoi qu’il en soit, ne culpabilisez pas non plus. On y arrivera tous et toutes un jour. Si vous consommez l’un de ces produits quotidiennement, au moins profitez-en!

Il faut adapter son alimentation à son niveau spirituel et ne pas croire que juste changer d’alimentation va tout changer. Ce qui change tout, c’est la remise en question du travail alchimiste intérieur et les expériences que notre âme ose faire ou ne pas faire!

Dans la remise en question de son alimentation, il ne faut surtout pas mettre la charrue avant les boeufs car cela provoque l’effet contraire que de se rapprocher desa Nature Divine. L’idée est d’harmoniser notre alimentation avec notre niveau spirituelet de ne pas tomber dans le piège que c’est l’alimentation qui va nous faireaugmenter notre “niveau spirituel”. Bien sûr, l’alimentation peut nous accompagnerdans notre élan, mais elle ne peut pas faire toute seule le travail alchimique. Sic’est notre alimentation qui est le moteur principal de notre état, cela devient unesource de dépendance et non de liberté. Il est aussi important de ne pas s’interdiredes écarts si on en a vraiment envie. Une fois, une grosse dose, de temps en temps, est bien moins aliénante qu’un petit peu tous les jours. En fait une grosse dose de temps en temps si, et uniquement si on en crève d’envie n’est pas aliénant du tout. Au contraire, cela peut même parfois donner un coup de fouet à nos différentscorps, afin qu’il ne s’endorment pas eux aussi dans une monotonie. Ce qui est très “aliénant” c’est ce que l’on fait ou ce qu’on ingurgite tous les jours. Le mot “aliénant” n’est pas excessif car il s’agit vraiment d’une autre Conscience qui s’installe dans nos corps.

Steiner insiste sur le fait qu’il “faut toujours tenir compte de la grande influence qu’exercent en général de petites quantités de substances sur le développement de l’être humain”. Ceci est l’abc de l’homéopathie. Une toute petite quantité d’une substance suffit à donner l’information au corps et y apporter l’Esprit qu’elle contient.

La nourriture peut beaucoup aider pour faire monter notre niveau de vibration, notre niveau de bien être et surtout notre niveau de conscience. Je ne vous demande pas de me croire sur parole. Par contre, je vous mets au défi de faire vos propres expériences grâce au tableau présenté à la suite de cette conclusion.

Je vous répète que ce qui est important et au-dessus de tout avec l’alimentation, c’est de ne pas avoir d’habitudes. Je ne le répèterai jamais assez: les habitudessont… le lecteur ou la lectrice en coeur: “les habits qui tuent”. Nos corps ont besoinde diversité. La routine tue la vie qui est changement.

“Que l’alimentation soit le premier de tes médicaments” nous disait Hippocrate.
Je suis 100 % d’accord. Et je rajouterais que lorsque l’on abuse d’un médicament, il se transforme en poison.

Je ne suis absolument pas d’accord avec la logique de ce livre à grand succès qui associe régime alimentaire et groupe sanguin. Ce livre netient absolument pas compte de la personnalité de l’âme qui a, elle aussi ses préférences.De plus, les auteurs de ce livre ont une éducation alimentaire très pauvre etils sont eux-mêmes coincés dans un esclavage alimentaire primaire. Ils ne mettentmême pas les gens en garde contre les produits laitiers, les sucres ajoutés, les produitsraffinés, l’alcool, sans doute car ils sont eux-mêmes accros à ces drogues duresqui empêchent les Occidentaux de s’éveiller.

Pour arriver à distinguer quels sont les effets de tel ou tel aliment sur notre organisme, il est d’abord nécessaire de faire une cure de minimum 21 jours sans la substance que nous désirons tester. C’est seulement une fois nos corps sevrés, qu’il sera possible d’en réaliser les effets en en mangeant à nouveau. C’est seulement à ce moment là que l’on peut prendre conscience de l’effet énorme qu’ont les aliments sur nos corps, sur notre état émotionnel, sur notre bien-être et sur la sensibilité de notre système de perception.

Un autre truc giga méga important, c’est de ne pas manger lorsqu’on a le cafard ou lorsque l’on est énervé. Si nous mangeons de mauvaise humeur, nous mangeonscette mauvaise humeur et la nourriture se transforme alors en véritable poison. Ilest essentiel d’être le plus présent possible lorsqu’on mange et de nous concentrersur le goût et l’effet des aliments dans notre corps. L’idée de base, c’est de mâcherles aliments jusqu’à ce qu’ils n’aient plus de goût. Je sais que cela ne plaira pas àbeaucoup de monde, seulement l’habitude de parler en mangeant est vraimentune habitude giga densifiante, voire nocive dans certaines circonstances. Onmange nos mots et nos émotions en même temps que la nourriture. Evitons aussi de manger en regardant la télé ou en conduisant une voiture. Nos corps ont besoin que nous mettions notre attention sur la nourriture. Ceci est très important! Alors comme l’aspect “social bouffe” est difficile à éviter, faisons des pauses, parlons et puis mangeons. Profitons-en pour éduquer notre interlocuteur à l’une des plus mauvaises habitudes de l’Occident: parler en mangeant.

Outil :
Ce que je te propose dans ce chapitre sur l’alimentation, c’est de décider toi-même de ce que tu vas manger. Dans ce but, je te joins un tableau à photocopier, à améliorer et à agrandir. Tu pourras y mettre les jours où tu manges et bois telle ou telle substance, afin de voir les effets que ces aliments ont sur toi à courte, moyenne et longue échéance.

Rudolph Steiner disait dans une conférence en 1923: “Et l’on en arrive à ce que je répète toujours aux gens. Ceux-ci, n’est-ce pas, viennent et demandent: est-il préférable de boire de l’alcool ou vaut-il mieux ne pas en boire? Vaut-il mieux être végétarien ou manger de la viande? Je ne réponds généralement jamais s’il faut renoncer à l’alcool ou s’il faut en boire, s’il faut se nourrir de végétaux ou de viande, mais je réponds: l’alcool agit de telle ou de telle façon. Je fais simplement part de la façon dont il agit. A eux de se décider entre boire et ne pas boire. Je me comporte également ainsi pour ce qui est des nourritures végétales et animales. Je dis: la viande agit ainsi, les plantes agissent ainsi. L’homme peut ainsi décider librement. Voici l’attitude dont la science devrait faire preuve: le respect de la liberté de l’homme. De façon à ne pas laisser apparaître le sentiment que l’on veut imposer ou interdire quelque chose à l’homme, mais qu’on lui dit les faits. Lorsqu’il sait l’action de l’alcool, il en vient de lui-même à ce qui est bon. C’est ainsi que nous avançons. Nous en arrivons à ce que les hommes libres puissent eux-mêmes trouver leur chemin.” Alimentation et développement spirituel - Edition Anthroposophiques Romandes.



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